Les articles 123 et 126 de la loi sur la santé publique octroient à notre gouvernement provincial le pouvoir de nous obliger à nous faire vacciner et jusqu’ici, toutes les mesures sanitaires qu’il a adoptées ont été justifiées sur la base que seule la vaccination pourra nous délivrer de la COVID-19. Craignant qu'il fasse fausse route, j’ai étudié de plus près les vaccins pour mieux m’expliquer en quoi ils sont notre planche de salut. Je vous partage mes découvertes très surprenantes. Elles m’apparaissent essentielles à une bonne compréhension de tout ce qu’ils impliquent.
Je vous avise d’entrée de jeu que leur portrait est loin d'être aussi rassurant qu’on nous le faire croire.
Je suis consciente que les fruits de mes recherches pourront indisposer les pros-vaccins, mais j’aurais le sentiment d’abandonner mes proches et ceux pour qui ces renseignements sont éclairant si je les gardais pour moi, c’est pourquoi j’ai décidé d’oser produire ce résumé que je vous rends disponible. Je pense que ce moyen est le plus sûr pour ne rien imposer, chacun étant libre de lire ce qui suit ou pas. Quand je suis avec mes parents et amis, je suis généralement en mode écoute, bien plus axée sur eux que sur l’actualité. Si le sujet se présente, la controverse ou le besoin d’avoir raison n’étant pas ma tasse de thé, je lâche assez vite le morceau lorsque la résistance que je rencontre semble vouloir se solder en dispute. (Je suis choyée parce que mon entourage est extrêmement respectueux de mon point de vue, même quand il ne correspond pas au sien, ce qui crée des conversations animées qui nous font mutuellement grandir.) Ma vie est donc loin de tourner autour de la COVID-19, bien qu’elle s’en trouve assombrie par les mesures sanitaires.
C’est pourquoi je vous invite à passer tout de suite votre chemin si vous n’êtes pas disposés à entendre un son de cloche différent de celui qui prévaut depuis des siècles à l’égard des vaccins. (Cela dit, ce serait dommage de vous priver de cette abondance d'informations. Évidemment, ça vous appartient.) Considérez-vous comme avertis. 😉 Si par contre vous souhaitez être bien informés en donnant la chance au coureur comme je l’ai moi-même fait, vous saisirez alors l’occasion d'emprunter cette voie rapide que je vous tends pour plonger dans un monde paradoxal absolument fascinant, bien qu'il cause préjudices.
À tous ceux qui seraient tentés de discréditer les propos à venir sous prétexte que je suis accompagnante holistique, je vous rappelle que les informations qui sont véhiculées dans ce billet proviennent presque en totalité d’une immunologiste et d’une journaliste spécialisée de la santé. Les renseignements supplémentaires ont été puisés sur des sites internet, dont je vous fournis tous les liens (qui méritent qu'on s'y attarde) en bas de page. Je me prête à l’exercice de les transmettre uniquement parce que j’ai à cœur le bienêtre de mes proches et de mes concitoyens. J’aurais pu tout aussi bien être chef pâtissière, ébéniste, agronome, maman à plein temps… ma situation professionnelle ne démontrant rien de plus qu’un choix de carrière en accord avec mon besoin d’aider.
Comme les vaccins pour contrer la COVID-19 nous seront injectés dans ce que nous avons de plus intime, notre corps, et que les conséquences de cette intervention peuvent être lourdes, voire fatales, j’estime que nous sommes en droit d’en savoir plus à leur propos afin que le moment venu, notre consentement ou notre refus à les recevoir soit éclairé.
J’aurais pu abréger ce compte-rendu, mais j’ai choisi de vous le transmettre dans sa version intégrale, même si ça signifie que je réduis considérablement les possibilités d’être lue. J’ai opté pour ce format complet très instructif afin de vous faciliter l’accès à la richesse de mes découvertes. En vous les offrant en un unique endroit, je ne risque pas qu’elles se perdent dans différents billets. Comme je n’ai pas pour ambition d’augmenter l’affluence sur mon site internet ou sur ma page Facebook (ça n’a très sincèrement pas d’importance pour moi), ça me convient très bien ainsi. Je nourris une seule attente, celle qu’il fraie son chemin jusqu’aux bonnes personnes, c’est-à-dire celles et ceux pour qui ce que je m’apprête à livrer a de la valeur.
Maintenant que les préambules sont faits, voici ce qu’une immunologiste qui sort des sentiers battus à propos des vaccins, après les avoir elle-même ardemment défendus pendant des années, et une journaliste spécialisée de la santé, qui s'est efforcée de demeurer aussi neutre que possible en rédigeant son livre, ont à en dire :
L’HISTOIRE SURPRENANTE DU VACCIN
Durant la période de la Chine ancienne (aussi appelée Chine préimpériale qui s’étend du XXIIe au IIIe siècle avant Jésus Christ), dans le but d’induire une forme moins sévère de variole afin de prévenir une contagion naturelle, on pratiquait la variolisation. Cette intervention dangereuse consistait à inoculer du pus extrait d’une pustule de variole d’un individu infecté à des personnes saines. À la fin du XVIIIe siècle, comme les femmes qui trayaient les vaches semblaient immunisées contre cette maladie, le médecin britannique Edward Jenner tenta de rendre la procédure plus sécuritaire en employant le liquide d’un abcès de vaccine (qui ressemblait à la variole), prélevé sur des vaches étant donné que ce virus était généralement moins agressif, d’où le terme « vaccination ».
Toutefois, il testa uniquement la résistance à la variolisation des sujets vaccinés, omettant de vérifier celle à la variole naturelle, ce qui lui aurait permis de constater que la protection offerte par ce procédé cessait au bout de quelques années.
Obnubilé par sa découverte qu’il croyait complète, il parvint à convaincre les autorités britanniques de vacciner.
Le remède qu’on injectait aux enfants devint pire que le mal puisqu’on transmettait d’autres maladies comme la syphilis.
Afin de rassurer la population, un Comité national de vaccin fut créé en 1800 qu’on rattacha à l’Académie de médecine en 1820.
En Angleterre, comme les réticences dues aux risques importants de contaminations diverses et des décès à la suite de la vaccination demeuraient nombreuses (sans compter que l’ordre naturel de la vie pour certains ou la volonté de Dieu pour d’autres étaient contrecarrés), le gouvernement proposa la vaccination gratuite aux plus pauvres. En 1853, il alla encore plus loin avec une loi obligeant les parents à faire vacciner leurs enfants sous peine d’amendes s’ils refusaient. Cette mesure qui souleva l’indignation de la population donna naissance en 1869 à la première ligue antivaccin. Pour calmer le jeu, on permit aux parents de soustraire leurs enfants de la vaccination en invoquant l’objection de conscience.
En hommage à Jenner, Louis Pasteur donna le nom de vaccination au procédé qu’il mit au point. Il réussit à isoler le microbe responsable du choléra de la poule et à le développer. L’animal injecté mourait en quelques heures jusqu’au jour où il employa une culture qu’il avait oubliée à l’air libre. Les oiseaux se rétablir rapidement de très légères pathologies. Il ne comprit pas tout de suite et tua d’autres volailles avant de reprendre la vieille culture. Il conclut qu’en « atténuant » les microbes, les poules qui en étaient volontairement infectées résistaient mieux à leur version virulente.
En Angleterre à la fin du XIXe siècle et aux Philippines au début du XXe siècle, dans des communautés entièrement vaccinées, il y eut une épidémie massive de variole.
Malgré ces épisodes, les scientifiques ont poursuivi leurs recherches en partant du principe que la vaccination et l’immunité s’équivalaient.
Puis au milieu des années 1890, il y eut l’utilisation d’antisérum, c’est-à-dire de sérum (partie liquide du sang) de cheval qui a acquis des propriétés antitoxiques après avoir été en contact avec des substances toxiques, agissant comme antidote à la diphtérie et au tétanos, deux maladies dont les symptômes sont provoqués par les toxines des bactéries. L’antisérum n’a toutefois jamais été validé par des essais cliniques contrôlés comparés à un placebo et il n’était pas très bien toléré par les humains, générant fréquemment des effets secondaires graves (maladie du sérum). La solution était de fabriquer de l’antisérum humain, mais cette option prendrait beaucoup trop de temps et serait risquée.
Dans toute l’histoire de la recherche immunologique, il n’a jamais été prouvé scientifiquement que l’effet neutralisant de l’antisérum de cheval dépendait des anticorps.
En 1924, un immunologiste découvrit que les toxines traitées avec du formol (les toxoïdes) ne provoquaient pas autant de symptômes, même si elles étaient inoculées en une seule dose élevée. Elles devinrent donc le fondement des vaccins contre le tétanos et la diphtérie et du produit thérapeutique à base d’antisérum humain appelé immunoglobuline antitétanique.
Plutôt que de vérifier si les toxoïdes créaient un état de tolérance aux toxines naturelles chez les humains, les immunologistes l’ont supposé.
Parallèlement, dans les années 1920, un groupe de scientifiques moins connus qui étudiait l’immunité naturelle contre le tétanos put établir qu’elle peut être acquise et qu’elle n’a rien à voir avec les antitoxines. Les fruits de leurs expériences furent publiés dans une revue prestigieuse intitulée Journal of Experimetal Medicine. On dut toutefois attendre l’ère de la numérisation pour pouvoir enfin consulter ces vieux documents qui s’étaient perdus dans les sous-sols des instituts de médecine, offrant donc à l’idée fausse que seuls les vaccins peuvent nous en sauver toute la liberté de persister.
« Le vaccin antitétanique n’a jamais fait l’objet d’un ERC (essai clinique randomisé, c’est-à-dire où les sujets sont répartis au hasard) pour vérifier son efficacité dans la prévention du tétanos : il a été mis sur le marché américain, en 1947, simplement parce qu’on avait jugé “concluante” son utilisation dans l’armée des États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale. »
Dre Tetyana Obukhanych dans Les vaccins sont-ils une illusion ?
Il est vrai que pendant cette guerre, on enregistra une baisse significative de tétanos (une maladie transmise par une bactérie qui libère une toxine et qui vit indéfiniment dans le sol) par rapport à la Première Guerre mondiale (12 décès de soldats américains, dont six étaient complètement vaccinés et six partiellement). Cependant, elle était possiblement due à une plus grande salubrité dans les soins apportés aux blessures et une meilleure alimentation des troupes, car avant même que le vaccin antitétanos soit inoculé à la population américaine, la mortalité par cette maladie diminua drastiquement et continua à le faire après son adoption.
Dans la littérature scientifique, on peut retrouver de nombreux exemples de cas de tétanos au dénouement parfois fatal dont le patient avait pourtant été vacciné. Même si l'organisme présente des taux élevés d’anticorps probablement immunisants, la toxine agissant dans le système nerveux central (endroit qui ne peut pas être atteint par les anticorps) et non dans le sang, il est inutile de vacciner.
De nos jours, il existe un traitement prometteur pour empêcher le tétanos de se développer (qu’on soigne avec des antibiotiques) ; celui d’injecter de la vitamine C par voie intraveineuse. Il a été démontré qu'il est également extrêmement efficace pour guérir de la COVID-19, mais on n'en parle pas dans les grands médias. (Vous trouverez en bas de page un lien menant à une vidéo qui traite du sujet. Elle vaut vraiment le détour.)
La question à se demander est celle-ci :
Pourquoi la rigueur scientifique a-t-elle été appliquée à ce traitement alors qu’il est sûr et économique ? Considérant qu’à la minute où il s’agit de vaccins et de leurs dérivés, ce n’est plus exigé, car dès qu’on parle de vaccin, l’efficacité dans la prévention de la maladie est machinalement reconnue, sans aucun essai supplémentaire pour le prouver.
Voilà « deux poids deux mesures » insensées. N’est-ce pas ?
Il est vrai que l’éthique fait obstacle aux études cliniques plus poussées sur les vaccins puisque nous devrions les tester sur des humains dont un groupe aurait volontairement été infecté par la maladie non atténuée pour laquelle le vaccin est développé. Mais comme la Dre Tetyana Obukhanych le dit si bien, il n’est pas plus éthique de risquer une éventuelle réaction vaccinale sur un nouveau-né ou un jeune enfant en bonne santé en l’absence d’un danger immédiat de pathologies mortelles sans aucune assurance que la protection sera durable. Tout comme ce n’est pas éthique de prendre le pari qu’une personne ne décèdera pas à la suite d’une vaccination sous prétexte que les probabilités que cette malchance se produise sont infimes alors qu’on n’a aucune preuve scientifique du bienfondé de cette procédure.
Encore aujourd’hui, les grands établissements d’enseignement qui forment les immunologistes entretiennent l’idée que les vaccins ont été scientifiquement prouvés, sans même se rendre compte qu’il s’agit d’une affirmation relevant d’une vision très éloignée de la réalité, conduisant leurs étudiants dans une direction qui les distance inévitablement de la compréhension de l’origine véritable de l’immunité.
Quiconque proposerait de vérifier l’efficacité des vaccins serait tenu pour hérétique[1].
LA MÉMOIRE IMMUNOLOGIQUE
D’après les immunologistes, l’immunité naturelle est la réponse de la mémoire immunologique à un premier contact avec des agents pathogènes, considérant que l’immunité et la mémoire immunologique ont la même valeur qualitative. Sans cette pièce de soutènement à leur postulat, ils n’auraient aucun fondement théorique pour imposer les vaccinations comme mesures préventives.
La mémoire immunologique est la capacité du système immunitaire à produire des anticorps plus rapidement pour lutter contre un antigène préalablement inoculé après être à nouveau en contact avec lui, ce qui n’a jamais été vérifié sur de vrais bactéries ou virus, l’ayant été uniquement sur des protéines isolées.
Les immunologistes ont découvert que pour que les animaux et les humains puissent sécréter des anticorps, l’antigène protéinique doit être mélangé à un adjuvant (une substance cytotoxique, c’est-à-dire qui sont aptes à tuer des cellules, comme les sels d’aluminium) avant d’être transmis par injection ou voie orale afin qu’une première réponse (qui sera lente et faible) aux antigènes protéiniques puisse avoir lieu. Cela exige donc des rappels de vaccin, dont la réaction est plus rapide, plus importante et ne relève pas de l’adjuvant ; ce qui pourrait mener à la fausse conclusion que l’immunité dépendrait de cette réponse immunitaire plus prompte.
Après 200 ans de recherches, les immunologistes n’ont toujours pas trouvé comment on acquiert l’immunité naturelle contre les microorganismes pathogènes autrement que par la mémoire immunologique. Ne souhaitant pas l’admettre, ils perpétuent ce dogme erroné pour garantir le monopole de l’immunologie dans les politiques de santé publique. Les conséquences de ce postulat sont cependant énormes, car elles se répercutent sur l’état physique de nos enfants qui se font vacciner à répétition pour un arsenal de maladies.
LES ALLERGIES
Le modèle expérimental de la mémoire immunologique n’explique pas l’immunité contre les véritables microorganismes pathogènes. Cependant, il représente un autre phénomène bien connu ; celui des allergies qui augmentent à chaque exposition à l’allergène. Pour qu’il y ait une réaction, les protéines ou les peptides doivent être capables d’induire des réponses de mémoire, mais pour cela, un adjuvant doit être présent : l’alun (sels d’aluminium). Les vaccins qui sont inoculés à plusieurs reprises dans la première année de vie en contiennent en forte dose et certains continuent d’être injectés périodiquement, même à l’âge adulte.
À la fin de l’année 2000, un groupe de scientifiques a démontré les effets pervers de l’alun (qui est loin d’être inactif comme on le croyait) sur le système immunitaire.
« Il se peut que nous nous soyons procuré un cheval de Troie sous le couvert d’une vaccination. »
Dre Tetyana Obukhanych dans Les vaccins sont-ils une illusion ?
LA ROULETTE RUSSE DES VACCINS CONTRE LA GRIPPE
De plus en plus de médecins réalisent que le vaccin antigrippal n’est pas à recommander ; d’une part parce qu’il est préparé 6 mois avant la saison, il ne correspond donc pas forcément à la souche qui circule, ensuite parce qu’il n’est pas assez bien examiné. Autre facteur à ne pas négliger, la source de financement des études détourne les résultats, le taux d’efficacité étant trop souvent haussé chez celles qui sont commanditées par les laboratoires qui les commercialisent. Des chercheurs américains du Center for Infectious Disease Research and Policy (CIDRAP) ont produit une synthèse de la littérature scientifique publiée sur le sujet entre les années 1936 et 2012 dans laquelle ils concluent que le niveau de preuves de l’efficacité de ce vaccin est insuffisant, spécialement pour les groupes ciblés en priorité.
Selon la Dre Tetyana Obukhanych, l’effet des anticorps préexistants sur le système immunitaire dépend de ce à quoi ils se lient.
Si les anticorps s’associent à des protéines, ces dernières les pousseront à sécréter plus d’anticorps contre elles. On parlera alors d’immunité humorale qui est le fondement de la mémoire immunologique (ou sensibilisation aux protéines) dans les vaccins produits avec de l’alun.
Par contre, si les anticorps préexistants s’unissent à une composante complexe comme le virion (unité élémentaire d’un virus avec sa couche extracellulaire entière) ou une bactérie, ils agiront en sens contraire, c’est-à-dire en entravant la réponse immunitaire contre cette substance (dont le processus est appelé suppression de l’immunité humorale), permettant à l’infection d’évoluer sans obstacle et soutenant de ce fait les pathologies. Ce phénomène qu’on nomme péché originel antigénique se produit quand des anticorps neutralisants préexistants participent à une réaction croisée avec l’organisme pathogène sans lui correspondre parfaitement, ce qui en affaiblit l’affinité et empêche son élimination complète.
Comme les souches du virus de la grippe mutent rapidement, les anticorps qui sont préexistants à la plus récente version peuvent engendrer une forme grave de la maladie en entraînant l’état de péché originel antigénique.
Dans une étude épidémiologique, le Canada a démontré qu’en 2008, les individus vaccinés contre la grippe saisonnière risquaient davantage de contracter la grippe porcine qui était médicalement surveillée.
« De plus, le péché originel antigénique pour la souche du vaccin H1N1 de 2009 a été documenté au niveau expérimental chez les receveurs du vaccin saisonnier contre la grippe H1N1. Les injections saisonnières de vaccin contre la grippe en 2008 pourraient donc avoir contribué à établir l’état de péché originel antigénique pour le virus H1N1 de 2009. »
Dre Tetyana Obukhanych dans Les vaccins sont-ils une illusion ?
Considérant qu’un vaccin contre la grippe a le pouvoir d’engendrer l’état de péché originel antigénique sur de nouvelles souches de virus grippaux, ordonner la vaccination revient à jouer à la roulette russe sur la population. Dans le meilleur des cas, les chances de contracter la grippe seront réduites de 30 %. Dans la pire situation, les conditions idéales pour transformer mortellement la prochaine grippe seront créées.
Il est par conséquent inacceptable qu’on les impose à des enfants ou des professionnels de la santé, à quiconque d’ailleurs.
NOUS GAGNONS PEUT-ÊTRE DES BATAILLES
MAIS NOUS PERDONS LA GUERRE
Les maladies provenant de virus peuvent se compliquer mortellement uniquement si les nouveau-nés ne peuvent pas bénéficier d’une immunité maternelle ou si les individus sont gravement sous-alimentés ou immunodéprimés.
Une affection virale peut mener à une infection bactérienne comme une pneumonie, une méningite ou une encéphalite.
Les vaccins antibactériens éliminent efficacement les souches bactériennes qu’ils ciblent. Cependant, leur spectre est très réduit, ne couvrant qu’une infime fraction de la grande biodiversité des souches bactériennes. Si on en supprime une, d’autres prendront le dessus.
En utilisant de tels vaccins, nous gagnons peut-être des batailles, mais nous perdons la guerre.
La coqueluche en est un exemple frappant. Le vaccin contre la coqueluche acellulaire a été injecté à des animaux qui ont par la suite été infectés à la coqueluche B. parapertussis. Les pathologies leur ont été quarante fois plus sévères que chez les animaux infectés par cette même bactérie qui n’avaient pas été préalablement vaccinés.
B. parapertussis est devenue la souche principale de coqueluche aux États-Unis au cours des dix dernières années. En réponse, la Californie a ajouté un rappel pour les enfants de plus de 12 ans et pour les adultes dans le but de protéger les plus petits.
« Nous nous entêtons à faire ce qui ne fonctionne pas dans l’espoir que cela se mette soudainement à fonctionner. »
Dre Tetyana Obukhanych dans Les vaccins sont-ils une illusion ?
LA SÉCURITÉ GÉNÉRALE DES VACCINS
En 1932, en Allemagne, on ne vérifia pas les cultures vaccinales, ce qui mena soixante-douze enfants sur deux cents à mourir de tuberculose, la maladie pour laquelle le vaccin avait été conçu. Cent vingt et un des sujets vaccinés développèrent les pathologies. Ce scandale eut pour effet que les Allemands ne voulurent plus se faire vacciner.
Dans les années 1960, on administra à des millions d’Américains un vaccin fabriqué à partir de cellules de rein de singe dans lequel se retrouvait involontairement le virus tumorigène SV40 (ce qui signifie qu’il était susceptible de produire des tumeurs). Heureusement, il ne s’est pas adapté à l’homme, évitant de peu des conséquences dramatiques aux patients vaccinés.
Pour écarter les risques qui viennent avec la manipulation de tissus animaliers, les vaccins sont conçus parfois avec des cellules d’embryons humains provenant de fœtus avortés thérapeutiquement. Le problème éthique, c’est que les mères sont trop souvent encouragées à se faire avorter (on leur fait croire que c’est pour leur bien plutôt que de leur offrir le soutien dont elles ont besoin pour prendre une décision éclairée) et les cliniques d’avortement vendent les fœtus. (Voir l'article paru dans le Figaro en bas de page.)
Un procédé nouveau emploie des cellules cancéreuses :
« Il y a quelques années, un antigrippal commercialisé aux États-Unis a même été élaboré pour la première fois dans un bioréacteur à partir de cellules cancéreuses qui croissent et se divisent très vite. L’intérêt est que le rendement est maximal. Le risque est que, en extrayant les virus de leurs hôtes, des morceaux de cellules cancéreuses pourraient subsister dans la préparation. Il n’y a aucun danger, disent les uns. Attention, préviennent les autres. »
Brigitte Bègue dans VACCINS le vrai du faux
De nombreux vaccins sont faits à partir de virus pathogènes atténués par tâtonnement, une méthode qui n’est pas infaillible. Ainsi, le risque que le virus du vaccin soit suffisamment agressif pour développer la maladie existe, comme pour celui de la poliomyélite (VPO) qui entraîne les pathologies une fois sur environ 500 mille receveurs. L’indice qu’il faut y renoncer est quand les pathologies à la suite de l’inoculation du virus du vaccin dépassent celles du virus naturel. C’est pour cette raison que le VPO oral a été remplacé en 1987 par le vaccin inactivé. Aujourd’hui, il est toujours inclus dans le programme américain de vaccinations, même si le poliovirus a été éradiqué du continent depuis une vingtaine d’années. Son efficacité n’a jamais été vérifiée.
Il existe également des vaccins non constitués de virus vivants atténués, plusieurs ne contenant que des parties (des protéines ou conjugués de protéines et de polysaccharides) du virus qui sont cultivées dans des levures auxquelles on ajoute de l’alun pour les renforcer. De cette manière, la maladie pour laquelle on vaccine ne peut pas être développée par le receveur. C’est pour cette raison qu’on peut garantir que celui de l’hépatite B et celui du papillome humain (Gardasil) sont très sûrs. On a pourtant relevé des cas de nouveau-nés morts après l’administration de celui contre l’hépatite B et de nombreux décès d’adolescents en très bonne santé qui ont subi des pathologies neurologiques après une série d’injections de Gardasil. (Voir les liens en bas de page.)
Les vaccins auxquels on ajoute de l’alun enclenchent un processus silencieux, sans qu’on puisse observer des symptômes immédiats, menant à un danger de sensibilisation. Un rappel chez les individus qui y sont vulnérables conduira à une réaction allergique, voire auto-immune, dont les conséquences pourraient être permanentes. Cette sensibilité pourrait être génétique ou nutritionnelle et l’étudier la préviendrait, mais ces recherches ne seront jamais financées par des fonds fédéraux sous prétexte que ce type de vaccins est sûr.
Il EXISTE AUSSI UN PRODUIT DE THÉRAPIE GÉNIQUE QU'ON NOUS PRÉSENTE FAUSSEMENT COMME UN VACCIN
Le « vaccin » de Pfizer qu'on a commencé à administrer aux personnes âgées québécoises et celui de Moderna qui vient d'être approuvé en font partie. Ils consistent en une injection d'acides nucléiques afin que nos cellules fabriquent elles-mêmes des éléments du virus.
« Et si les cellules de certains "vaccinés" fabriquaient trop d'éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l'ADN. »... « Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l'ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s'intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées "vaccins", sont des apprentis sorciers et prennent les Français, et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques, des OGM (organismes génétiquement modifiés). »
Christian PERRONNE
Chef du service des Maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital de Garches (92) - FRANCE
De plus, cette thérapie génique n'a jamais été testée sur les plus fragiles, c'est-à-dire les personnes âgées. Elles servent par conséquent d'humains de laboratoire à grande échelle sans en être informées par le gouvernement et les grands médias qui abusent impunément de leur confiance.
À PROPOS DE L’ALUN
Depuis 1927, l’hydroxyde d’aluminium (l’alun) est ajouté aux vaccins afin d’augmenter leur efficacité. On pourrait penser qu’en plus de 90 ans, la science bénéficie de suffisamment de recul pour évaluer son degré de sécurité. Eh bien non, son caractère bénin est toujours à évaluer. La présence anormale d’aluminium sur le site d’injection (muscle deltoïde de l’épaule) serait associée à des symptômes tels que des douleurs musculaires diffuses, de la fatigue chronique et des troubles cognitifs invalidants. Le syndrome des adjuvants pourrait perturber les personnes qui y seraient prédisposées ; l’âge, les facteurs génétiques et environnementaux ayant une incidence sur cette sensibilité. Des travaux effectués sur des souris démontrent des traces d’aluminium dans la rate et le foie qui s’accumuleraient au bout de 90 jours dans le cerveau, une pénétration cérébrale tout de même extrêmement faible.
« … après avoir injecté à des souris, soit le vaccin Engerix® contre l’hépatite B, soit un placebo, il constate qu’au bout de quarante-cinq jours elles n’ont aucun symptôme mais qu’à partir de cent trente-cinq jours, les souris vaccinées sont prostrées, anxieuses, ont moins de coordination motrice et d’endurance physique que celles qui ont reçu le placebo. Un cortège de symptômes qui ressemble à ce que décrivent les patients porteurs d’une MFM chronique et qui pourrait plaider pour un effet à long terme de l’adjuvant aluminique si ces observations sont confirmées. »
« Pour le Pr Gherardi, la MFM (myofasciite à macrophages) n’est pas sans rappeler le syndrome de la guerre du Golfe dont ont été atteints certains soldats et que l’on suspecte d’être lié aux six injections d’un vaccin contre l’anthrax contenant de l’aluminium que les militaires ont reçu. »
Brigitte Bègue dans VACCINS le vrai du faux
À PROPOS DU SQUALÈNE
Cette huile extraite du foie de requin a été employée pour la première fois dans le vaccin contre la grippe H1N1. Commercialisé par GlaxoSmithKline, le Pandemrix® a pu être produit en millions d’exemplaires rapidement grâce à cet amplificateur d’effet qui permettait d’utiliser moins d’antigènes pour leur fabrication. Cependant, devant la pandémie mondiale, on a précipité l’évaluation de ce vaccin. Aujourd’hui, on pense que son adjuvant pourrait être la cause de la narcolepsie qui se manifeste par des envies soudaines et incontrôlables de dormir à toute heure du jour accompagné d’une perte de tonus musculaire. Cette maladie auto-immune rare concerne majoritairement les enfants et les jeunes adultes et survient en moyenne près de 4 mois après la vaccination pour les enfants et les adolescents et après moins de 5 mois chez les adultes.
« Toutes les études établissent un lien entre une augmentation du risque de narcolepsie et ce vaccin. »
Brigitte Bègue dans VACCINS le vrai du faux
Aux États-Unis, les vaccins contre la grippe H1N1 étaient fabriqués sans squalène et on dénombre seulement 2 cas de narcolepsie.
Bien que ce vaccin ne soit plus commercialisé, il se pourrait qu’un autre vaccin pour répondre à une nouvelle pandémie contienne du squalène, les bénéfices étant jugés plus importants que les risques encourus.
À PROPOS DU THIOMERSAL
Utilisé depuis 1930, ce conservateur est un dérivé de l’éthylmercure afin d’éviter que les bactéries prolifèrent dans les vaccins et dans les médicaments.
En 1999, la FDA (l’agence de médicament américaine) et l’EMA (l’agence européenne du médicament) concluent qu’isolément, il n’y a aucun danger pour la santé, mais la prise à répétition des médicaments qui en contiennent pourrait engendrer un effet potentiellement neurotoxique, pouvant causer l’autisme chez les enfants. Bien qu’il n’y en ait plus dans la fabrication massive de vaccin, on en trouve encore dans ceux destinés aux pays en développement.
« En France, on en décèle des traces dans certains vaccins antigrippaux et contre l’hépatite B et il a été réintroduit en 2009 dans les vaccins contre la grippe H1N1, dont le Pandemrix®, à doses “infime”, selon les autorités sanitaires. »
Brigitte Bègue dans VACCINS le vrai du faux
LA PHARMACOVIGILANCE
Cette surveillance des répercussions nuisibles ou imprévues des traitements prescrits afin d’en établir la nature, d’en faire l’évaluation et de les prévenir est tenue par différentes structures selon les pays, l’Organisme mondial de la Santé (OMS) étant la plus grande référence planétaire. Mais pour que les renseignements se rendent jusqu’à eux, les patients et leurs médecins doivent faire le lien entre leurs symptômes et le médicament ou le vaccin. Le problème, c’est que seulement 1 % à 10 % de leurs effets graves sont répertoriés.
« Le manque de temps, d’information, d’intérêt, l’ignorance de l’obligation de déclarer, les présupposés comme l’assurance qu’un vaccin ne peut pas faire de mal, la non-valorisation de cette tâche dans leur activité… font que les médecins prescripteurs ne font pas de la pharmacovigilance une priorité. D’autant que lorsqu’ils s’en occupent, ils n’ont aucun retour d’information ni de publication des services concernés sur les observations qu’ils font remonter. »
Brigitte Bègue dans VACCINS le vrai du faux
Aussi, en Europe entre autres, une partie de la pharmacovigilance relève directement des laboratoires pharmaceutiques qui ne relaient jamais l’information aux agences sanitaires. L’affaire Mediator® a clairement démontré que les liens tissés serrés entre les firmes, les experts et les pouvoirs publics compromettent la réactivité et l’objectivité.
CE QUI EMPÊCHE DE METTRE AU JOUR LE PARADOXE DE LA VACCINATION
1. La ténacité de la croyance populaire qui persiste à nier les faits
Contrairement à la croyance populaire, les vaccins ne procurent pas une protection pour la vie.
Ils ne sont qu’une manipulation du système immunitaire afin d’obtenir une défense temporaire (3 à 5 ans) contre les affections virales, ne faisant que retarder la sensibilité aux virus qu’ils n’éradiquent pas complètement.
Par exemple, un enfant vacciné contre la varicelle supportera plus difficilement cette maladie une fois adulte. Les oreillons contractés adultes peuvent rendre les hommes stériles tandis que la rougeole est dangereuse pour les fœtus d’une femme enceinte à cause du risque d’anomalies congénitales.
De plus, les vaccins suppriment l’immunité naturelle, nuisant par le fait même à l’immunoprotection maternelle des nourrissons.
En effet, comme c’est uniquement l’exposition par les muqueuses qui permet la production d’anticorps dans les glandes mammaires, les mères qui ont été vaccinées ne pourront pas acheminer à leurs enfants leurs anticorps. Aussi, leurs taux d’anticorps sont inférieurs à celui des mères immunisées naturellement, ce qui signifie qu’elles (les mères vaccinées) transmettent par le placenta moins d’anticorps, voire aucun, aux fœtus qu’elles portent. C’est pour cette raison qu’au début des années 1990, on avait noté un plus grand risque d’attraper la rougeole (cette affection était encore endémique aux États-Unis) chez les enfants dont la mère avait été vaccinée contre cette maladie.
Les mères qui sont immunisées contre les maladies virales en les ayant naturellement contractées pendant leur enfance transfèrent à leurs enfants leur immunité par l’intermédiaire du placenta pendant la grossesse puis du lait maternel après l’accouchement. Donc, si un nourrisson qui est allaité au sein ou juste après son sevrage est en contact avec un virus pour lequel sa mère est naturellement immunisée, son infection, qui sera asymptomatique, entraînera son immunité à vie.
À la lumière de toutes ces explications, nous pouvons donc aisément comprendre que l’acte d’injecter des virus vivants atténués aux nourrissons est dangereux et inutile.
Les maladies infantiles qui étaient autrefois légères comme la rougeole, les oreillons et la rubéole sont encore répandues dans certaines régions du globe. Elles sont aujourd’hui à craindre parce que la science les a rendus plus menaçants. C’est pourquoi les campagnes de vaccination contre la varicelle doivent cesser.
« Le paradoxe des vaccins, c’est qu’ils réduisent l’incidence générale des maladies infantiles, mais les rendent beaucoup plus dangereuses pour la génération suivante. »
Dre Tetyana Obukhanych dans Les vaccins sont-ils une illusion ?
2. Les scientifiques ne sont pas libres d’entreprendre les recherches qu’ils jugent importantes
Étant soumis aux commissions scientifiques de consultation qui décident des recherches à financer, les scientifiques sont limités dans leurs recherches. Donc, si elles statuent que la société a besoin de nouveaux vaccins, c’est là que l’argent des contribuables ira.
EST-CE QUE L'IMMUNITÉ DE GROUPE EST POSSIBLE ?
L’immunité de groupe basée sur la vaccination n’a pas encore été prouvée.
En revanche, de très nombreuses épidémies témoignent que la vaccination pour contrer certaines maladies ne les a pas éliminées.
Selon une publication de Poland et Jacobson parue en 1994, l’Amérique du Nord a connu 18 épidémies différentes de rougeole en milieu scolaire alors que la couverture vaccinale était très élevée (de 71 à 99,8 %), les enfants vaccinés constituant entre 30 et 100 % des cas. En 2011, une épidémie de rougeole toucha le Québec dont le pourcentage de personnes (doublement vaccinées cette fois) atteignait pourtant 95 à 97 %. Augmenter le nombre de rappels n’a donc pas été la solution.
Récemment, une étude basée sur une épidémie de rougeole à New York qui eut lieu en 2001 a démontré clairement qu’un adulte doublement vacciné pouvait transmettre la maladie à un autre adulte aussi doublement vacciné.
« … même en cas de couverture vaccinale totale, seul un quart de la population, dans le meilleur des cas, sera résistant à l’infection virale pendant plus de dix ans. Cela souligne bien que la vaccination infantile ne permet pas d’obtenir une immunité de groupe stable sur le long terme, et cela, quel que soit le niveau de la couverture. »
Dre Tetyana Obukhanych dans Les vaccins sont-ils une illusion ?
Le facteur suivant pèse également dans la balance : la formule d’un vaccin est gérée différemment d’un système à un autre, ce qui implique que pour un même vaccin, il y aura différentes réponses, la production d’anticorps et leur durabilité dans le temps variant d’une personne à l’autre. Sans compter les complications qui peuvent mener à la mort dans les circonstances les plus graves.
Il arrive que des individus nouvellement vaccinés soient plus à risque d’être infectés (ils sont donc contagieux) que ceux qui ne le sont pas, comme c’est le cas pour la diphtérie, le tétanos et la coqueluche, les vacciner pour une souche les rendant plus vulnérables à une autre.
La vaccination est par conséquent un projet de protection à très court terme qui hypothèque grandement l’avenir à court, moyen et long terme. Ainsi donc, au fil du temps, les campagnes de vaccination nuisent à la population.
DE NOS JOURS DANS LE MONDE
Selon Brigitte Bègue, journaliste française, seulement 5 heures sont consacrées à la vaccinologie dans le cursus de la médecine. De plus, les médecins sont influencés par les représentants médicaux, qui sont rémunérés par les firmes pharmaceutiques, dont le rôle est de les persuader du bienfondé des produits qu’ils vendent en taisant (dans 74 % des cas) leurs effets indésirables, comme en atteste une étude publiée dans le British Medical Journal en juillet 2014 qui déclare :
« 42 % des effets indésirables sérieux des psychotropes, constatés au cours des essais cliniques sponsorisés par l’industrie pharmaceutique, ne sont pas recensés dans les articles destinés aux professionnels de santé. »
Brigitte Bègue dans VACCINS le vrai du faux
Médecins sans frontières nous informent qu’en dix ans, le coût pour vacciner un enfant a explosé de 2 700 %, ce qui rends l’accessibilité des nouveaux vaccins plus difficiles pour les populations moins nanties qui n’ont pas les moyens de se les offrir. C’est d’ailleurs parfois sur ces derniers que les vaccins sont testés avant leur commercialisation. De plus, elles reçoivent des doses massives des vaccins antipolio les moins chers qui sont également les moins sûrs.
Pour faciliter l’accès aux vaccins, l’OMS, qui s’est associée à l’Unicef, a mis sur pieds plusieurs plans d’action dont les programmes se réalisent grâce à la participation de l’Alliance mondiale pour les vaccins et l’immunisation (GAVI) qui a été créée en 2000 et qui est subventionnée en partie par la fondation Bill Gates.
« Un organisme remis en cause par certains pour sa proximité avec les multinationales. »
Brigitte Bègue dans VACCINS le vrai du faux
À ce propos, en 2009, l’OMS avait fait appel à un comité d’urgence pour la conseiller sur les mesures à adopter pour contrer la grippe H1N1 parmi lesquels 6 experts avaient des liens avec des firmes. On soupçonna l’OMS d’avoir exagéré l’ampleur de l’épidémie. Le 12 novembre, en France, on requerra l’assistance de l’armée pour une vaccination de masse dans les gymnases alors que le vaccin n’avait pas eu le temps d’être évalué correctement. Pourtant, à cette date, on savait que l’éclosion de la grippe ne serait pas pire qu’une forte épidémie de grippe saisonnière. Étrangement, juste avant l’alerte de l’OMS, le critère de la gravité ne figure plus dans la définition d’une pandémie.
Autres faits importants à mentionner, les pharmaceutiques rémunèrent les travaux ou les laboratoires des professionnels de la santé puis elles s’en servent pour promouvoir leurs produits.
« Selon le New York Times, plusieurs centaines de médecins ont aussi été recrutés pour donner des conférences sur le vaccin : un exposé de cinquante minutes était payé 4 500 dollars. »
« Comment se prononcer en toute indépendance intellectuelle sur un vaccin fabriqué par celui qui finance vos recherches, vous invite au restaurant, paie vos déplacements lors d’un congrès ? »
Brigitte Bègue dans VACCINS le vrai du faux
Cela dit, que les entreprises qui produisent des vaccins prennent des dispositions pour les vendre est tout à fait normal. Qu’elles puissent cependant les promouvoir à travers certains médias comme la télévision et la radio est discutable, leurs intérêts commerciaux étant incompatibles avec une diffusion d’informations objectives et indépendantes au bénéfice du public. Le battage médiatique pour le Gardasil® a poussé des parents à se le procurer à la pharmacie en pensant protéger leurs filles alors qu’aujourd’hui, la sécurité de ce vaccin est remise en question.
En Inde, 24 000 adolescentes ont été vaccinées du Gardasil® et du Cervarix®, sans qu’on ait demandé à leurs parents l’autorisation. Cinq d’entre elles sont décédées et plusieurs dizaines ont eu des effets secondaires.
Pendant qu’on vaccine…
« Plus de 1 milliard de personnes sur la Terre n’ont toujours pas accès à l’eau potable et, chaque année, 6,6 millions d’enfants meurent avant l’âge de cinq ans pour cause de prématurité, d’asphyxie du nouveau-né, de pneumonie, de diarrhée, de paludisme… 45 % de ces décès sont dus à la malnutrition. »
Brigitte Bègue dans VACCINS le vrai du faux
LES VACCINS LES PLUS COURANTS
HÉPATITE B
Le vaccin pour prévenir l’hépatite B — une maladie virale qui se transmet par le sang ou par les rapports sexuels non protégés et qui reste en dormance la plupart du temps — est à l’origine de la méfiance de bien des populations envers la vaccination.
En 1994, la France a lancé une importante campagne de vaccination qui ciblait les nourrissons et les enfants de dix-onze ans (il était administré gratuitement à ces derniers dans leurs collèges). Des annonces tapageuses et exagérées appuyées par de fausses informations (admises aujourd’hui par tous les observateurs) — laissant entendre que le virus se propageait par la salive, les baisers, les larmes et qu’en un jour, il tuait plus que le sida en un an — ont permis une vaccination massive. Les messages étaient relayés par les autorités de santé, les médias et la plupart des médecins. Tout à coup, cette affection était l’ennemi de santé publique numéro un. Ce dérapage a coûté cher, le vaccin pouvant conduire à l’altération de la myéline, une substance entourant les nerfs moteurs, la sclérose en plaques, des maladies auto-immunes telles que le syndrome de Guillain-Barré, la polyarthrite rhumatoïde, le lupus, la thyroïdite, la sclérose latérale amyotrophique (SLA). L’OMS considère malgré tout que la balance bénéfices-risques demeure positive.
POLIOMYÉLITE
Ce virus contracté par l’eau, par des aliments crus ou par contact des mains sales gagne le système nerveux, entraînant une paralysie des jambes. Dans certains pays, il y a eu des explosions de poliomyélite dont le virus devenu infectieux par mutation génétique est différent de celui du vaccin oral, cette version moins chère étant moins efficace que celle injectée.
DIPHTÉRIE
Cette infection produit une toxine touchant d’abord les voies respiratoires supérieures, puis le cœur et le système nerveux périphérique. La vaccination pour prévenir cette affection qui a disparu dans bien des pays comme la France et le Canada demeure obligatoire pour éviter qu’elle revienne par les voyageurs.
Au début des années 1900, pour essouffler l’épidémie, plusieurs villes des États-Unis et d’Europe ont enclenché une vaccination systématique. Durant cette même période, c’est-à-dire entre 1908 et 1939, la maladie a tout de même régressé en Norvège qui n’a pourtant pas adopté cette approche, comme si elle s’amenuisait naturellement avant ou parallèlement à la vaccination.
Dans les années 1990, l’Afrique, le Moyen-Orient, l’Asie et l’Amérique du Sud ont inventorié la diphtérie alors que certains de ces pays bénéficiaient d’une bonne couverture vaccinale. Étonnamment, ce sont les adultes qui ont été particulièrement atteints, incluant ceux qui avaient eu leurs rappels.
D’ailleurs :
« En 1975, un rapport de l’US Communicable Disease Center (CDC), qui dépend de l’OMS, attirait l’attention sur le fait que “le degré de protection par la vaccination avec l’antitoxine n’est souvent guère satisfaisant” ».
Brigitte Bègue dans VACCINS le vrai du faux
BCG
Le bacille de Calmette et Guérin a été conçu pour prévenir la tuberculose, une affection qui s’attaque aux poumons et qui peut, à de rares occasions, atteindre d’autres organes tels que les reins, le cerveau, les os. Aujourd’hui, ce vaccin n’est plus obligatoire en raison de sa faible efficacité par rapport aux effets indésirables. La maladie ne circule plus beaucoup grâce à l’amélioration des conditions de vie.
Entre 1975 et 1977, l’Allemagne de l’Ouest qui avait arrêté la vaccination ne fut pas plus touchée que l’Allemagne de l’Est, la tuberculose ayant tué autant d’enfants d’un côté que de l’autre du Mur.
En 1990, la Finlande a stoppé la revaccination, et plutôt que d’exploser, la maladie a régressé.
Une étude menée en Inde en 1999 sur trois groupes, dont un avait été vacciné comme ils en avaient l’habitude, un avait reçu 1/10 de la dose et un dernier à qui on injecta un placebo (c’est-à-dire une substance inactive), a démontré que la tuberculose a été contractée du pareil au même dans les trois groupes.
Tandis que l’utilité du vaccin n’était pas confirmée, les effets indésirables s’avérèrent démesurés. On observa des abcès, des ulcérations, des fistules, des lésions cutanées, etc. chez 18 % des enfants à l’endroit de l’injection, requérant dans certains cas une hospitalisation. Une inflammation du tissu osseux (ostéite) ou une infection de la peau, du foie, de la rate, des ganglions, des os ou des poumons, fatals une fois sur deux, pouvait être déclenchée à de rares occasions.
Aujourd’hui, nous prévenons cette maladie en isolant les patients, en portant le masque et en les prenant en charge rapidement.
En 2020, la pandémie de COVID-19 est gérée de façon telle que la tuberculose n’est plus diagnostiquée par les pays qui en sont les plus touchés.
« Engagés dans la lutte contre le nouveau coronavirus, les pays les plus touchés par la tuberculose ont omis de la diagnostiquer, révèle le rapport annuel de l’Organisation mondiale de la santé, qui estime que la maladie pulmonaire pourrait faire cette année entre 200 000 et 400 000 morts de plus que les 1,4 million de 2019, malgré l’existence d’un remède. »
Journal de Montréal du vendredi 23 octobre 2020[2]
ROR
L’image du vaccin Rougeole-Oreillons-Rubéole, trois maladies infantiles, a été mise à mal par The Lancet, une prestigieuse revue médicale britannique qui a suggéré un lien entre ce vaccin et l’autisme, une publication qui a été par la suite récusée et retirée.
Les jeunes générations qui ont été vaccinées semblent moins bien immunisées contre la rougeole — une maladie qui se transmet par la toux, les éternuements, le contact avec des jouets contaminés et qui développe de la fièvre, de la toux et des boutons ou des rougeurs sur tout le corps — que les générations qui l’ont été naturellement.
L’immunité contre la rubéole — une affection sans gravité (sauf pour la femme enceinte, car le fœtus peut subir des malformations irréversibles) qui se caractérise par de la fièvre et des petits boutons — s’acquiert en se protégeant contre la rougeole.
Quant aux oreillons, ils sont bénins pour les enfants et se distinguent par une inflammation des glandes salivaires sous les oreilles. Déclarée après la puberté, cette affection peut causer des méningites, des pertes d’audition, la stérilité chez l’homme, car les testicules peuvent être atteints. Contrairement à ce qu’on croyait, l’efficacité pour contrer les oreillons attribués à ce vaccin pourrait être inférieure à 15 ans, l’âge moyen de la maladie passant de 5 ans (en 1986) à 16 ans (en2011).
PAPILLOMAVIRUS
Les papillomavirus humains (HPV), habituellement éliminés par l’organisme, sont transmissibles par des relations sexuelles non protégées. Dans 5 % des cas cependant, ils peuvent dégénérer en cancer. Le Gardasil® qui s’attaque à quatre souches prévient également les verrues génitales (condylomes) dues à ces virus. Comme le cancer du col utérin évolue lentement (15 à 20 ans), on ne peut pas prouver l’efficacité du vaccin.
On recense une centaine de papillomavirus parmi lesquels au moins treize sont oncogènes. Le problème avec le vaccin, c’est qu’il est possible que certains d’entre ces virus prennent la place de ceux qui ont été désamorcés par le vaccin ou qu’ils accroissent leur virulence.
Parmi les effets indésirables graves déclarés jusqu’à maintenant figurent des convulsions, des paralysies, le lupus, des maladies auto-immunes, la sclérose en plaques, des inflammations du système nerveux central.
En 2013, on a recensé 32 179 troubles liés à ces vaccins, dont 587 étaient sévères, et 148 mortalités. Dans les cellules cérébrales de deux adolescentes décédées, on a détecté des fragments d’ADN collés à l’aluminium utilisé comme adjuvant. Reste à prouver le lien de cause à effet… n’en demeure pas moins que ce n’est pas rassurant. Malgré tout, on continue à le recommander et on le devance dans certains pays à 11 ans au lieu de 14 ans « sans raison valable » selon Prescrire, une revue médicale indépendante.
L’autre vaccin est le Cervarix® qui prévient contre deux souches de papillomavirus.
COQUELUCHE ET VARICELLE
La coqueluche qui se contracte par une bactérie et qui est très contagieuse par la toux, les postillons ou par contact direct déclenche des crises de toux persistantes. Bien qu’elle ne soit pas bien grave, elle peut le devenir pour les nourrissons en les asphyxiant. Leur système cardiaque étant mis à rude épreuve, il pourrait ne pas y survivre.
Quant à la varicelle (due au virus de l’herpès zoster) qui se déclare par l’apparition de petits boutons (des vésicules) sur tout le corps (ils sont très inconfortables, car ils démangent énormément), comme elle ne compte qu’environ 27 hospitalisations pour 10 000 habitants, sa prévention est controversée. Cette maladie ne se développe qu’une seule fois et généralement très jeune. Vécue à un âge plus avancé, elle prend souvent la forme d’un zona dont :
« Le virus VZV, après la guérison de la varicelle, reste quiescent dans les ganglions nerveux, sans s’intégrer aux chromosomes hôtes. Le plus souvent à l’occasion d’une baisse de l’immunité (âge avancé, mononucléose, simple stress, SIDA déclaré, certains cancers, etc.), le virus se réactive dans un ou plusieurs ganglions nerveux. De là, il remonte par les fibres nerveuses jusqu’à la peau (ou les muqueuses selon les nerfs touchés), provoquant une éruption caractéristique de la varicelle. Cependant, à la différence de la varicelle, la topographie de l’éruption est limitée aux métamères des ganglions dans lesquels le virus s’est réactivé (c’est-à-dire dans une région de peau et/ou de muqueuse bien caractéristique, correspondant au territoire d’innervation du ou des nerfs correspondant aux ganglions nerveux infectés). »
NOUS DEVONS REVOIR NOTRE RAPPORT AVEC LES GERMES
On doit la stérilisation des instruments chirurgicaux à Louis Pasteur (1822-1895) qui a réussi à prouver ce qu’Ignaz Semmelweis (1818-1865) pressentait à propos des décès causés par des actes médicaux au cours des siècles passés. Un bon nombre d’entre eux auraient pu être évités par une hygiène adéquate afin que des germes ne puissent pas contaminer les plaies. Depuis, nous avons déclaré la guerre aux germes, mais ils ne sont pas tous pathogènes, et ceux qui le sont se développent rarement en maladies.
Prenons pour exemple les bactéries commensales, également appelées symbiotes. Ce sont des organismes normalement présents à la surface de certains tissus qui vivent et se nourrissent en profitant des restes d’une espèce différente, sans lui nuire. Pour qu’elles deviennent dangereuses, elles doivent entre autres être confrontées au stress oxydant (qui provient d’un style de vie désordonné, du stress, de la mauvaise alimentation, etc.) qui altère l’équilibre des espèces oxydantes. Les cellules peuvent éviter cet état quand elles sont remplies de glutathion, une enzyme jouant le rôle de transporteur d’hydrogène, de protecteur et de réparateur des cellules contre les agents oxydants. Des réserves suffisantes de glutathion préviennent par conséquent les infections bactériennes invasives grâce aux molécules de cystéines (acide aminé soufré), car ce sont elles qui favorisent une bonne provision de glutathion. Les cystéines sont donc la clé pour diminuer l’oxydation. Si elles sont dénaturées par la chaleur, l’intestin ne pourra pas les absorber. Notre tendance à cuisiner ou à pasteuriser toutes les sources possibles de protéines crues réduit l’apport en cystéines, créant des carences en glutathion. De plus, afin de remplir son rôle, le glutathion a besoin de vitamine C.
Nous pouvons donc comprendre qu’un régime alimentaire riche en vitamines (la C n’étant pas la seule à contribuer au bon fonctionnement du système immunitaire), que nous retrouvons plus facilement dans la nourriture crue, est crucial pour prévenir les maladies alors que combattre les germes comme nous le faisons n’est pas la solution puisqu’ils reviennent généralement en force.
EN CONCLUSION
Fautes d’études scientifiques rigoureuses et complètent, on ne peut garantir l’efficacité et la sécurité de la vaccination.
L’histoire a non seulement démontré que son rendement est loin d’être celui estimé et que le rapport bénéfices/risques n’est pas suffisamment pris en compte, mais également qu'elle hypothèque de manière significative l’avenir à court, moyen et long terme. Pourtant, même en sachant que la vaccination nuit à la population, on continue ses campagnes.
L’immunologie étant la branche de la médecine qui a inventé les vaccins, force est d’admettre que ça demande énormément de cran et d’humilité aux immunologistes de remettre en question les théories sur lesquelles s’appuie leur expertise. Encore plus quand ils les ont défendues bec et ongles pendant des années avant de constater qu’ils avaient été mal renseignés et qu’ils devraient corriger le tir pour protéger leurs patients.
Malheureusement pour la population qui continue à se faire vacciner, ces informations ne passent pas bien dans le milieu médical qui persiste à entretenir soigneusement leurs convictions jusqu’à elle par la chaine des pharmaceutiques, des institutions d’enseignements supérieurs, des collèges des médecins, et des praticiens sur le terrain qui ont beaucoup trop à perdre si on en venait à s’y opposer, auxquels s’ajoutent nos gouvernements fédéral et provincial et les grands médias. Il est d'ailleurs inacceptable que ces derniers s'en mêlent. Pour s’imposer, tous ces niveaux bénéficient d’un mur dogmatique quasiment immuable érigé pendant des siècles alors que ses fondements sont pourtant dépourvus d’études systématiques et scientifiquement rigoureuses. Étant donné qu’ils sont trop nombreux à s’y accrocher, le mouvement pour le déconstruire qui a été initié par les quelques spécialistes qui osent se prononcer contre la vaccination doit être suivi par le refus de ceux qui n’y adhèrent plus. Il est impératif que nous puissions disposer du libre choix éclairé de l’accepter ou de la décliner selon nos convictions.
Les patients d’aujourd’hui n’étant plus ceux d’hier, ils demandent de plus en plus de comptes et la transparence. Ils souhaitent comprendre les tenants et aboutissants et craignent davantage l’envergure des risques qui pourrait aller jusqu’à se faire tromper par les pharmaceutiques, le scandale de Médiator[3] et les vaccins contre l’hépatite B à la fin des années 1990 ayant instauré le doute dans leur esprit. Je rappelle que les fabricants de vaccins et les autorités avaient sciemment amplifié la dangerosité de l’hépatite B et diminué l’importance des effets indésirables graves découlant de leurs vaccins.
Bien sûr, tous les renseignements que je viens de vous fournir sont confrontant quand on a reçu tous les vaccins et qu’on les a imposés à ses enfants. Comme je fais partie de ce lot, je vis moi-même la douleur qu’engendre ce constat. Alors, je peux m’imaginer celle des professionnels de la santé qui les injectent ; la pilule doit leur être particulièrement difficile à avaler. Leur volonté à protéger leurs patients en demeurant fidèles à leur serment professionnel devrait les aider à pousser leurs investigations afin de s’assurer du bienfondé de chaque vaccin. Il en va de leur responsabilité pour la sécurité de leurs patients.
Évidemment, comme les vaccins sont loin d'être aussi sûrs qu’on nous le fait croire (ils compromettent l'immunité des souches suivantes qu'ils rendent plus virulentes, ils affaiblissent le système immunitaire des enfants nés de mères vaccinées, ils risquent des complications graves trop souvent mortelles, la vaccination de masse ne protège pas la population, etc.) et étant donné que de plus en plus, les gens sont partagés sur ce sujet, les lois qui permettent de l’imposer devraient être abrogées afin de respecter le choix des personnes qui ne veulent plus s’y soumettre.
POUR CELLES ET CEUX QUI OPTENT POUR LA VACCINATION, COMME ELLE N'EST PAS ANODINE, VOICI QUELQUES CONTRE-INDICATIONS
Elle doit être reportée en cas de fièvre, même peu élevée, et durant la grossesse (sauf si la maladie comporte plus de risques pour la mère et pour l’enfant). Les vaccins à bannir sont ceux contenant du thiomesrsal (conservateur), car ils renferment de l’éthylmercure, une substance neurotoxique. La vaccination pourrait provoquer une poussée de sclérose en plaques chez les personnes qui en sont atteintes, c’est pourquoi ces dernières doivent l’éviter.
« Enfin, la vaccination est à bannir chez les patients ayant des antécédents d’hypersensibilité connue aux excipients ou aux substances ayant servi à la fabrication du vaccin (œufs, gélatine — présent dans les vaccins grippaux et contre la fièvre jaune —, protéines de poulet, certains antibiotiques, etc.). »
Brigitte Bègue dans VACCINS le vrai du faux
Comme le nerf sciatique peut être touché, les vaccins qui se donnent par injection doivent être administrés ailleurs que dans la fesse.
Il est très important d’indiquer dans le carnet de santé la date d’injection, la marque du vaccin et le numéro de lot.
Pour accéder aux détails sur le vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-Biontech : par ici.
Pour accéder aux détails sur le vaccin contre la COVID-19 de MODERNA : suivez ce lien.
« Ne prenez pas le vaccin de Moderna contre la COVID-19 si :
vous êtes allergique à la substance active ou à tout autre ingrédient de ce vaccin;
vous avez eu une réaction allergique à une dose précédente du vaccin de Moderna contre la COVID-19;
vous présentez actuellement des symptômes qui pourraient être dus à la COVID-19. Discutez de vos symptômes et d’un test éventuel de dépistage de la COVID-19 avec votre professionnel de la santé. Votre professionnel de la santé vous dira quand vous serez en mesure de recevoir le vaccin. »
Pour accéder au lien, cliquez sur : Détails médicaments (canada.ca)
« Les professionnels de la santé doivent être informés :
o Que des renseignements importants particuliers au Canada ne figurent pas sur les étiquettes de la fiole ni de la boîte (voir la section Information à l’intention des professionnels de la santé). »
Pour accéder au lien qui fait cette mention, cliquez sur : Renseignements importants en matière d’innocuité concernant l’autorisation du vaccin de Moderna contre la COVID-19 dont la boîte et la fiole portent des étiquettes unilingues anglaises.
Pour terminer, la Dre Tetyana Obukhanych nous met en garde à propos de l’acétaminophène utilisée pour faire descendre la fièvre ou pour soulager les douleurs. 10 à 20 % de ce médicament est transformé par le foie en métabolite réactif hautement toxique appelé NAPQI (N-acétyl-p-benzochinonimmine) qui, fixé au glutathion, l’expulse avec lui. Si les réserves du foie en glutathion sont épuisées par le NAPQI, le stress oxydant aigu entraînera des lésions hépatiques sévères. Ce qui signifie qu’il est risqué de prescrire de l’acétaminophène prétendument très sécuritaire pour les enfants afin de baisser la température, qu’il y ait vaccination ou pas. Les fièvres existent pour une bonne raison : nous défendre contre les complications pouvant créer des dommages cérébraux ou la mort et éliminer les substances toxiques. Interférer avec le mécanisme de la fièvre n’en supprime pas la cause. Les médicaments rendent par conséquent la tâche plus difficile au système immunitaire qui s’emploie à gérer les infections. Donc, si la fièvre est modérée, il vaut mieux éviter de la contrecarrer avec une médication allopathique.
À vous qui êtes restés avec moi jusqu’ici, je vous passe le flambeau en vous invitant à poursuivre vos recherches.
On ne sera jamais trop renseignés !
SERMENT PROFESSIONNEL DES MÉDECINS
En usage au Québec depuis le 15 décembre 1999
J’affirme solennellement que :
Je remplirai mes devoirs de médecin envers tous les patients avec conscience, loyauté et intégrité ;
Je donnerai au patient les informations pertinentes et je respecterai ses droits et son autonomie ;
Je respecterai le secret professionnel et ne révélerai à personne ce qui est venu à ma connaissance dans l’exercice de la profession à moins que le patient ou la loi ne m’y autorise ;
J’exercerai la médecine selon les règles de la science et de l’art et je maintiendrai ma compétence ;
Je conformerai ma conduite professionnelle aux principes du Code de déontologie ;
Je serai loyal à ma profession et je porterai respect à mes collègues ;
Je me comporterai toujours selon l’honneur et la dignité de la profession.
Serment d’Hippocrate : https://fr.wikipedia.org/wiki/Serment_d%27Hippocrate
LE CODE DE NUREMBERG
« La traduction moderne de référence18 du code de Nuremberg, faite depuis le texte du jugement, est la suivante pour les 10 articles :
1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée. Ce dernier point demande que, avant d’accepter une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître : la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience. L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombent à chaque personne qui prend l’initiative de, dirige ou travaille à l’expérience. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelles qui ne peuvent pas être déléguées impunément ;
2. L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature ;
3. L’expérience doit être construite et fondée de façon telle sur les résultats de l’expérimentation animale et de la connaissance de l’histoire naturelle de la maladie ou autre problème à l’étude, que les résultats attendus justifient la réalisation de l’expérience ;
4. L’expérience doit être conduite de façon telle que soient évitées toute souffrance et toute atteinte, physiques et mentales, non nécessaires ;
5. Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori de croire que la mort ou des blessures invalidantes surviendront ; sauf, peut-être, dans ces expériences où les médecins expérimentateurs servent aussi de sujets ;
6. Le niveau des risques devant être pris ne doit jamais excéder celui de l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience ;
7. Les dispositions doivent être prises et les moyens fournis pour protéger le sujet d’expérience contre les éventualités, même ténues, de blessure, infirmité ou décès ;
8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes scientifiquement qualifiées. Le plus haut degré de compétence professionnelle doit être exigé tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent ;
9. Dans le déroulement de l’expérience, le sujet humain doit être libre de mettre un terme à l’expérience s’il a atteint l’état physique ou mental dans lequel la continuation de l’expérience lui semble impossible ;
10. Dans le déroulement de l’expérience, le scientifique qui en a la charge doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a été conduit à croire — dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence du plus haut niveau et du jugement prudent qui sont requis de lui — qu’une continuation de l’expérience pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet d’expérience. »
Extrait du site internet suivant : Code de Nuremberg — Wikipédia (wikipedia.org)
LIVRES DE RÉFÉRENCE POUR CE BILLET
1. Les vaccins sont-ils une illusion ? Dre Tetyana Obukhanych (immunologiste titulaire d’un doctorat de la Rockfeller University à New-York et d’un postdoctorat de la Harvard Medical School à Boston), Macro Éditions (1ère édition : janvier 2018), 156 pages.
À propos de Dre Tetyana Obukhanych, immunologiste
Elle a obtenu son doctorat à l’Université Rockefeller de New York, NY puis elle a suivi une formation postdoctorale à la Harvard Medical School à Boston, MA, et à la Stanford University School of Medicine à Stanford, en Californie.
Elle a siégé au Conseil des médecins pour un consentement éclairé de 2015 à 2019.
Elle donne fréquemment des conférences sur les thèmes de la vaccination, de l’immunité et du système immunitaire à l’intention du public international.
Coautrice de plusieurs articles de recherche qui ont été publiés dans des revues prestigieuses telles que Nature, Cell, et le Journal of Experimental Medicine, Dre Tetyana obukhanych est également l’autrice du livre intitulé Vaccine illusion.
Dans ce livre, elle remet en question le dogme dominant de l’immunité vaccinale à vie, motivée par son besoin de comprendre pourquoi, bien qu’elle ait été vaccinée, elle a contracté certaines maladies infantiles. Elle y livre les fruits de son enquête approfondie des connaissances disponibles sur la vaccination et sur l’immunité naturelle acquise.
2. VACCINS LE VRAI DU FAUX De Brigitte Bègue (journaliste spécialisée de la santé), Delachaux et Niestlé, Paris 2014, 154 pages.
Extrait de la 4e de couverture
« Depuis quelques années, dans les pays où les grands fléaux ont disparu, c’est la peur des effets secondaires qui prend le dessus sur les bénéfices de la vaccination. Loin du débat souvent passionnel, Brigitte Bègue fait le point sur ce qui est considéré comme l’un des plus grands progrès de la médecine, aujourd’hui ébranlé par le doute.
Ainsi, chacun — citoyen, parent, consommateur — sera en mesure de démêler le vrai du faux. »
La citation du Pr Christian Perronne provient de la lettre qu'il adresse aux Français le 30 novembre 2020 afin de les informer de la réalité de la COVID-19 et de les mettre en garde contre le pseudo vaccin de Pfizer. Vous pouvez la lire en suivant ce lien.
ÉTUDES CITÉES
Poland, G.A., Jacobson, R.M. « Failure to reach the goal of measles elimination. Apparent paradox of measles infections in immunized persons », in Arch. Intern. Med., vol. 154, 1994, p. 1815–1820.
Rosen, J.B. et coll., « Outbreak of measles among persons with prior evidence of immunity, New York City, 2011 », in Clin. Infect. Dis., vol. 58 (9), 2014, p. 1205–1210.
INFORMATION SUPPLÉMENTAIRE ET LIENS INTERNET CONSULTÉS
Je vous invite à prendre le temps de visiter tous ces liens, car ils sont très instructifs.
Paru dans le Journal de Québec du lundi 8 février 2010 :
GRIPPE A (H1N1)
Fausse pandémie et conflits d'intérêt? Accès à cet article
Controverse entourant les vaccins (hépatite B, méningite) :
Entrevue de Pierre Bruneau avec Sophie Thibault et François Paradis La vidéo est ici
Le « vaccin » de Pfizer contre la covid-19 :
Les premiers effets secondaires du « vaccin » de Pfizer contre le Covid-19 : cliquez ici.
Pr Christian Perronne :"Moderna, Pfizer, ce ne sont pas des vaccins, c'est de la thérapie génique": par ici.
Vaccination SARS-CoV-2 : le Dr Wodarg et le Dr Yeadon disent stop ! Pour lire ce billet
« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays : Voici l'article
Santé Canada :
Aveu de la direction générale de Santé Canada qui ne fait aucune étude indépendante clinique, se basant uniquement sur celles présentées par les manufacturiers : suive ce lien.
Alors, quand le site du gouvernement du Canada affirme que « Santé Canada a effectué un examen scientifique rigoureux des preuves médicales disponibles pour évaluer l’innocuité du vaccin de Pfizer-BioNTech contre la COVID-19. Les données que nous avons examinées n’ont soulevé aucune préoccupation majeure », cela signifie que notre gouvernement accorde une confiance aveugle à cette entreprise qui lui fournit les données qu'elle veut bien.
À noter que le site du gouvernement du Canada ne mentionne pas la faible possibilité de paralyser des muscles du visage (4 personnes ont eu cet effet secondaire sur 20 000 vaccinés).
De plus, pourquoi n'y précise-t-on pas qu'il s'agit d'une thérapie génique, et non d'un vaccin ? Comme si tout à coup le mot injection était synonyme de vaccination. (Les antibiotiques, la vitamine C et l'insuline deviennent-ils des vaccins quand ils sont injectés ? Bien sûr que non.)
Extrait du site du gouvernement du Canada :
« Effets secondaires possibles
Les effets secondaires observés au cours des essais cliniques sont en général semblables à ceux que vous pourriez avoir avec d’autres vaccins.
Les effets secondaires qui ont suivi l’administration du vaccin dans les essais cliniques étaient légers ou modérés et comprenaient notamment de la douleur au point d’injection, des frissons, de la fatigue et de la fièvre.
Il s’agit d’effets secondaires habituels associés aux vaccins, sans risque pour la santé.
Comme c’est le cas pour tous les vaccins, les secondaires sévères sont possibles, mais rares. Un effet secondaire sévère pourrait notamment être une réaction allergique.
Santé Canada a effectué un examen scientifique rigoureux des preuves médicales disponibles pour évaluer l’innocuité du vaccin de Pfizer-BioNTech contre la COVID-19. Les données que nous avons examinées n’ont soulevé aucune préoccupation majeure.
Autorisation par Santé Canada de médicaments et du vaccin contre la COVID-19 : Liste des drogues et vaccins autorisés et des drogues à indication supplémentaire : suivre ce lien » (Vous pouvez suivre ce lien.)
Sur la liste très courte (seulement 4 médicaments, dont le « vaccin » de Pfizer appelé « tozinameran » et celui de Moderna qui est également une thérapie génique) ne figure pas l’hydroxychloroquine, un médicament pourtant très abordable et des plus sécuritaires reconnu depuis des décennies.
Le remdesivir qui est pour sa part très dispendieux et dommageable pour les reins s’y trouve.
Ainsi que le bamlanivimab, un médicament en cours d’étude destiné au traitement de la COVID-19.
À propos de l'efficacité de l'hydroxychloroquine :
Pour suivre le lien d'une méta-analyse confirmant que ce médicament est efficace pour contrer la COVID-19 lorsqu'il est utilisé tôt, par ici.
À partir de 1minute 08 de la vidéo suivante (cliquez dessus son titre) : Que la vérité soit dite !!! Covid-19 - YouTube
(Constatant que cette vidéo a été censurée par Facebook, j'ai dû la retrouver pour vous fournir un nouveau lien.)
À propos de l'efficacité de la vitamine C en injection pour guérir la COVID-19 :
Se rendre à 59 minutes 37 secondes de la vidéo mentionnée précédemment (en cliquant sur son titre que je vous remets ici) : Que la vérité soit dite !!! Covid-19 - YouTube
La vitamine C, qui est hydrosoluble, est facilement éliminée par l'organisme alors elle est tout à fait sécuritaire puisqu'on ne peut pas en faire une surdose.
Dans cette même vidéo, vous apprendrez sur le pouvoir de prévention et de guérison de la vitamine D sur la COVID-19 (vers 40 minutes).
Et plus loin (vers 52 minutes 30 secondes), celui du Zinc qui peut également être employé en prévention et en traitement pour soigner la COVID-19. Il est un élément clé pour les traitements à base d'hydroxychloroquine, cette dernière lui ouvrant la voie pour qu'il puisse pénétrer dans la cellule. (Une personne âgée sur deux est carencée en zinc.)
Aucune de ces solutions très efficaces et abordables en prévention ou en traitement n'est mentionnée sur le site du gouvernement du Canada.
À noter que toute la vidéo mérite qu'on s'y intéresse.
À CNN-France, on demande :
Pourquoi vacciner nos plus fragiles ? Vote impair montre le dilemme. Cliquez ici pour y accéder.
La transcription démontre avec éloquence le deux poids deux mesures qui existe en faveur des vaccins. Toutes les personnes qui décèdent avec la COVID-19 sont comptabilisées mortes de la COVID-19. Il suffit d’ailleurs qu’elles aient été en contact avec quelqu’un qui l’a eue. (Pour visionner la vidéo dans laquelle notre premier ministre, François Legault, nous explique la comptabilisation des décès par la COVID-19, passez par ici.) Mais pour les « vaccins » de Pfizer et de Moderna, qui sont en fait une thérapie génique, la relation de cause à effet ne tient plus. On parle alors de coïncidence. En voici des extraits :
« Nous ne serions pas du tout surpris de voir, par coïncidence, la vaccination se produire et de faire passer quelqu’un peu de temps après avoir reçu un vaccin, non pas parce que cela a quelque chose à voir avec la vaccination, mais simplement parce que c’est l’endroit où résident les gens en fin de vie », a déclaré M. Moore. »
« L’une des choses que nous voulons nous assurer que les gens comprennent, c’est qu’ils ne devraient pas être inutilement alarmés s’il y a des rapports, une fois que nous commençons à vacciner, d’une ou plusieurs personnes qui meurent dans un jour ou deux de leur vaccination et qui sont des résidents d’un établissement de soins de longue durée. Ce serait quelque chose à quoi nous nous attendions, normalement, parce que les gens meurent fréquemment dans des maisons de soins infirmiers. »
Pourtant, cette thérapie génique n’a jamais été testée sur les personnes âgées. Elles servent donc de cobayes à grande échelle. D’autres citations :
« Mais il y a aussi lieu de s’inquiéter. Les vaccins Covid-19 n’ont pas été testés chez les personnes âgées fragiles, dont beaucoup résident dans des établissements de soins de longue durée. »
« Comme ils n’ont pas été étudiés chez les personnes de ces populations, nous ne savons pas dans quelle mesure le vaccin fonctionnera pour eux. Nous savons que la plupart des vaccins ne fonctionnent pas aussi bien chez une personne âgée fragile que chez quelqu’un qui est en forme et vigoureux, même s’ils ont le même âge », a déclaré M. Moore. »
« Il y a une question au sujet de l’avantage direct du vaccin, s’il est administré aux personnes qui vivent dans ces établissements, parce que nous n’avons pas encore étudié dans quelle mesure il fonctionne dans ce groupe. »
À propos du vaccin pour prévenir l’hépatite B :
Think twice : http://www.thinktwice.com/hepb.htm
Ian’s voice : https://exposingvaccinegenocide.org/ians-voice/
À propos des vaccins pour prévenir le papillome humain :
Gardasil ©, la catastrophe approche (je vous recommande de le consulter) : https://www.aimsib.org/2018/09/30/gardasil-la-catastrophe-approche/
La vérité est sortie : Gardasil Vaccine Coverup Exposés : https://kellybroganmd.com/truth-out-gardasil-coverup-documents-exposed/
À 57 minutes, la Dre Astrid Stuckelberger parle des vaccins : https://www.youtube.com/watch?v=mFNSYAUntsw&feature=share&fbclid=IwAR39ShhR2h8OptUUswitTZfjiwH1_lUbZIbtUL45TXaEFJmvkBtiXDu1KQU
À propos du trafic de tissus de fœtus avortés :
Cliquez sur le titre paru dans le Figaro : Vente d'organes de fœtus : la vidéo qui embarrasse le Planning familial américain
Le Code pénal américain indique que « le trafic commercial de parties du corps d’un bébé avorté est punissable de 10 ans de prison et d’une amende de 500 000 $ ».
Note : j’ai fait des recherches afin de comprendre le processus d’IVG et j'ai découvert une vidéo dans laquelle on assiste à un avortement. Le fœtus qui a tout de l’apparence d’un bébé est extrait de l’utérus par morceaux. (Vous avez bien lu.) Il est démembré et sorti lambeau par lambeau. La tête et le torse étant trop gros, ils sont broyés par l’instrument qui les retire par fragments. La violence de cet acte barbare m’horrifie. Je vous épargne l’abomination en ne mettant pas le lien.
LIVRE RECOMMANDÉ PAR LA DRE TETYANA OBUKHANYCH
Hystérie vaccinale, Vaccin Gardasil et cancer : un paradoxe de Nicole Delépine et Gérard Delépine
[1] Hérétique : idée qui va à l’encontre de l’opinion admise.
[2] Lien menant à l’article du Journal de Montréal : https://www.journaldemontreal.com/2020/10/14/la-covid-19-met-en-peril-les-progres-de-la-lutte-contre-la-tuberculose-selon-loms
[3] En 2010 : « L’affaire du Mediator est une affaire sanitaire et judiciaire concernant les personnes s’estimant victimes de la prise de benfluorex, commercialisé sous le nom de Mediator par les laboratoires Servier. »
« Commercialisé de 1976 à 2009 en France par le groupe Servier, notamment comme médicament indiqué dans le traitement du diabète de type 2, dit “gras” (car associé à une surcharge pondérale). Il a également été prescrit, hors indications thérapeutiques remboursables, aux patients désireux de perdre du poids. » https://fr.wikipedia.org/wiki/Benfluorex « Quatorze prévenus et onze personnes morales sont renvoyés en correctionnelle en septembre 2017 et le procès s’ouvre deux ans plus tard. Parmi les personnes morales, les laboratoires Servier sont accusés de “tromperie aggravée, escroquerie, blessures et homicides involontaires par violation délibérée, et trafic d’influence” et l’Agence nationale de sécurité du médicament de “blessures et homicides involontaires par négligence” » https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_du_Mediator
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