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COVID-19 : faits troublants exposés par des scientifiques afin de remettre les pendules à l'heure

Dernière mise à jour : 14 janv. 2021



Récemment, en parlant à un de mes proches qui n’était pas au courant que les enfants ne sont pas des vecteurs significatifs de la COVID-19, j’étais étonnée de constater combien certaines informations ne circulent pas.

Oh, je suis bien au fait des nombreuses censures dont font l’objet tous les articles et vidéos qui dédramatisent la COVID-19. Cependant, je ne me rendais pas compte à quel point beaucoup de personnes ne se fient qu’aux nouvelles véhiculées dans les grands médias alors qu'ils sont très polarisés.

C’est pourquoi j’ai pensé consacrer un billet aux différents renseignements qui m’apparaissent essentiels à détenir pour être en mesure d’évaluer où nous en sommes avec ce virus. Vous en apprendrez donc davantage sur sa dangerosité, comment il peut être soigné avec un médicament très efficace qui existe depuis plus de 65 ans et jusqu’où notre gouvernement peut aller « pour notre bien ».

Je suis bien consciente que la meilleure stratégie pour augmenter la chance de retenir votre attention serait surement de ne pas les transmettre en un seul communiqué.

Comme mon but n’est pas d’augmenter l’affluence d’interactions sur ma modeste page Facebook ou sur mon site internet, mais bien de vous transmettre un autre son de cloche à celui généralement véhiculé, j’opte pour un format riche en contenu. Il demandera évidemment un peu plus de temps à lire, mais pour vous faciliter la vie, je préfère ne pas le fragmenter en plusieurs courtes publications.

Je vous partage donc au même endroit un maximum de renseignements en souhaitant que vous restiez avec moi jusqu’au bout. (Vous ne le regretterez pas !) Beaucoup d’éléments essentiels à une compréhension plus juste de la situation mondiale actuelle qui affectent tout autant les Québécois vous sont dispensés dans les prochains paragraphes. J’espère que vous saurez les apprécier.

CE QU'EN DIT LA DRE ALEXANDRA HENRION-CAUDE

Dans une vidéo, la généticienne spécialiste de l’épigénétique, ancienne directrice de recherche à l’ISERM à l’Hôpital Necker en France, directrice de l'Institut de recherche Simplissima, Dre Alexandra Henrion-Caude, partage son expertise de manière à ce que nous saisissions mieux les enjeux qui ont cours actuellement avec la COVID-19.

Elle y avoue être abasourdie et très malheureuse que l’élite intellectuelle soit si silencieuse à propos du non-sens des mesures qui sont prises par les gouvernements mondiaux pour contrer ce virus. En même temps, elle comprend que ce groupe qui se distingue par son excellence soit muselé par ses conflits d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques.

« On ne mord pas la main qui nous nourrit. » dit-elle.

Elle considère déraisonnable de mettre au point un vaccin dans l’urgence totale et en moins de 6 mois sans connaitre les effets secondaires, car il y en aura forcément, le principe même du vaccin étant de déclencher une réaction pour développer des anticorps.


Vacciner pendant que le virus est en activité augmente de 1,5 à 2 fois la possibilité de contracter certaines infections respiratoires alors que le coronavirus en véhicule lui-même.

C’est pour cette raison que tout vaccin doit être administré sur un organisme sain en évitant d’autres contaminations.

Ce qui expliquerait en partie pourquoi la population de 65 ans et plus de l’Italie du Nord a été si durement touchée. Elle s’est fait vacciner (185 000 doses) en fin octobre 2019 contre la grippe (c’est la première année d’ailleurs qu’elle s’y soumet en grand nombre, elle qui y était d’ordinaire réfractaire) puis en janvier 2020 contre la méningite alors que la COVID-19 circulait déjà. Elle a été plongée sans le savoir dans un contexte idéal d’interférence virale dont les conséquences sont celles que nous connaissons.


Les systèmes de ces personnes âgées de plus de 65 ans se sont retrouvés perturbés par un orage cytokinique qui se manifeste par une violente réponse inflammatoire nocive et trop souvent mortelle du système immunitaire à une superposition de virus.

Donc, comme la COVID-19 peut être asymptomatique, il est très dangereux de vacciner parce que ça l’amplifierait.

Le mécanisme des vaccins des laboratoires Moderna reposant sur un flux d’information qui ne peut pas ne pas avoir d’effets généraux étant donné que l’ARN agit à différents niveaux, dont les gènes et les protéines, les techniques qui y sont utilisées actuellement ont par conséquent des répercussions sur ce que nous sommes. En des termes plus clairs, ils sont en train de jouer sur l'épigénétique humaine et les conséquences peuvent être très graves, car elles peuvent modifier l’essence même de ce que nous sommes.


FAITS TROUBLANTS

L’origine de ce nouveau virus est encore inconnue. Plusieurs hypothèses existent, dont celle-ci :

Il pourrait s’agir d’une faille humaine dans un laboratoire de niveau P4 (le plus élevé) de la ville de Wuhan, en Chine, dans lequel des virus sont manipulés à des fins de recherches.


Apparemment, la signature d’autres virus a été insérée à une jonction très précise du génome du coronavirus SARS-COV-2 (COVID-19) et il est très peu probable que ce soit le produit d’une mutation naturelle, car la coupure tombe trop bien entre les deux segments de protéines S1 et S2. De plus, la fonction de ces messages est de faire reconnaître le virus par l’organisme humain pour qu’il soit potentiellement répliqué.

Et comme si ce n’était pas suffisant, les experts chinois ont communiqué de faux chiffres et ce sont eux qui sont accourus au chevet des Italiens en exigeant qu’aucune autopsie ne soit faite. Cet ordre est tout à fait illogique si on souhaite comprendre comment agit sur le corps humain un nouveau virus pour identifier le moyen de le combattre. Ça aurait permis entre autres de réaliser qu’on ne doit pas tourner tous les soins autour de la charge pulmonaire, car une solution anticoagulante doit également être apportée au système vasculaire pour éviter la suffocation. Les « experts » ont pourtant précisément recommandé de ne surtout pas faire ça. Toujours selon eux, il ne fallait pas traiter les malades avec des corticoïdes, de l’ibuprofène ou de l’aspirine. Cet ordre formel relève du scandale parce qu’on aurait pu éviter énormément de morts en suivant la logique qui suggère de pendre un de ces médicaments au début de l’infection.

Didier Raoul, professeur de l’IHU méditerranée à Marseille, préconise l’hydroxychloroquine couplée à l’acitromizine, une combinaison que bien des médecins utilisent malgré l’interdiction en cours. Ils obtiennent d’excellents résultats.

Étrangement, la nécessité d’une bonne hygiène de vie n’a pas été rappelée par l’OMS et les grands médias. On a plutôt recommandé des mesures contraires au développement et au maintien d’un système immunitaire sain. Il est pourtant reconnu que nous le cultivons et le renforçons :

  • En faisant de l’exercice ;

  • En évitant de nous confiner pendant de longues périodes, durant des mois étant par conséquent à proscrire ;

  • En nous oxygénant bien, ce qui implique de ne pas porter de masques pendant de longues heures. À ce propos, il est très clairement indiqué sur leurs boîtes qu’ils ne protègent pas de la COVID-19. Selon Dre Henrion-Caude, les mailles sont tellement énormes qu’elles laissent passer des centaines de milliers de particules de ce virus. Pour que leur port soit efficace, nous devons tenir compte entre autres de la culture, de la façon de vivre des gens, du climat, de la température.

Nous entretenons et fortifions également notre système immunitaire :

  • En nous alimentant bien ;

  • En évitant le stress. Tous les efforts des gouvernements et des médias sont pourtant articulés autour de ce facteur en traitant les données de manière à dramatiser la situation et à occulter les solutions qui existent déjà ;

  • En n’oubliant pas que les virus et les bactéries ne viennent pas uniquement de l’extérieur, notre corps en étant constitué en grande partie ; d’où l’importance d’une aération adéquate en gardant dégagée la bouche, car l’échange de nos bactéries et de nos virus est un flux naturel et vital au bon fonctionnement de l’organisme. (À ce propos, une bactérie buccale qui peut monter au cerveau pourrait être une des causes de l’Alzheimer.)

L’âge moyen des décès causés par la COVID-19 est le même que l'espérance de vie, soit 80 – 81 ans. L’appauvrissement des soins et l’affectif n’étant pas comblés, les aînés deviennent encore plus à risque, car la défense immunitaire nécessite des contacts humains. Nos personnes âgées aiment sentir notre main dans la leur.

« Elles en ont besoin. » affirme Dr Henrion-Caude.

En ce moment, le virus perd de sa force au niveau mondial et les pays du sud sont beaucoup moins touchés en raison de la température élevée qui agit sur la COVID-19 en l’affaiblissant.

Toujours selon Dre Alexandra Henrion-Caude (31 juillet 2020), 650 000 morts à travers le globe ne justifient pas une pandémie et pour tous virus qui se propagent sous forme de cloche, une deuxième vague serait peu probable. Certes, on pourrait avoir une deuxième petite courbe, mais tout porte à croire qu’elle serait bien moins importante que la première et beaucoup plus limitée en géographie. Pendant que la COVID-19 fait supposément rage, il y a 1 500 000 décès de tuberculose, une maladie potentiellement létale qui revient en ce moment, mais on n’en entend pas parler.

LA DÉCOUVERTE DU PR LUC MONTARGNIER

Dans une seconde vidéo, le Pr Luc Montargnier, biologiste virologue français, qui étudie par bio-informatique les virus à l’Institut Pasteur, affirme sans détour qu’il y a eu manipulation de la COVID-19 par un travail très minutieux de biologistes moléculaires.


Son rôle étant d’exposer les faits sans porter d’accusations, il se garde bien de pointer du doigt qui que ce soit malgré la pression en ce sens qui est induite sur lui par les différents intervenants sur le plateau de l’entrevue. Il émet l’hypothèse qu’on a pu vouloir créer un vaccin contre le SIDA. Il arrive à cette conclusion en expliquant que le matériel génétique d’un virus est constitué d’un long ruban d’ARN. Pour celui qui nous intéresse, des petites séquences de VIH y ont été insérées.

Il n’a pu que constater qu’il existe en ce moment une volonté d’étouffer cette réalité. Il cite l’exemple d’un groupe de chercheurs indiens très réputés qui ont fait la même découverte et qui ont été forcés à se rétracter par l’éditeur de la revue scientifique dans lequel leur article est paru.


Bien que des organismes mondiaux et nationaux qui ont un intérêt à cacher la vérité font pression sur lui, le Pr Montargnier bénéficie d’un énorme avantage grâce à son prix Nobel, celui de pouvoir travailler librement. Malgré ses détracteurs qui tentent de le discréditer, il continue donc à véhiculer ses découvertes. C’est ainsi qu’il peut affirmer qu’il y a suffisamment de matériel du VIH pour modifier un site antigénique afin de permettre à ce nouveau coronavirus d’être reconnu par le système immunitaire humain. Il propose une solution avant-gardiste, précisant qu’elle relève pour le moment de la science-fiction, celle d’utiliser des ondes électromagnétiques pour détruire des séquences d’ARN du virus.


En attendant, nous pouvons compter sur la nature qui amène les nouveaux virus à perdre leurs pouvoirs pathogènes aux graves conséquences à travers les personnes infectées.


LE DR DAN ERICKSON S'APPUIE SUR LES CHIFFRES LES PLUS RÉCENTS

Lors de la conférence de presse du 26 avril 2020 convoquée par les docteurs Dan Erickson et Artin Massihi (médecins traitants tous deux spécialisés en microbiologie, biochimie, immunologie et virologie, cumulant chacun 20 ans d’expérience dans ces domaines), ces derniers sonnent l’alarme en articulant leur discours autour des arguments suivants :


La crainte d'un nouveau virus est tout à fait normale. À ses débuts, la prudence était bien évidemment de mise, mais ici, la théorie et la réalité ne correspondent pas toujours. Bien des hypothèses se sont avérées erronées.

Par exemple, on pensait que la COVID-19 était bien pire que la grippe. En 2017, les chances aux États-Unis d’en décéder étaient à 0,13 %. En date du 26 juillet 2020, les chiffres démontrent que celles de mourir de la COVID-19 aux États-Unis sont bien inférieures.

96 à 97 % des malades en guérissent et ceux qui succombent ont des comorbidités.

Nous devons nous rappeler que le système immunitaire est construit grâce aux contacts avec les virus et bactéries. Par exemple, on ne met pas les bébés et bambins qui portent tout à leur bouche dans une bulle. On doit au contraire les laisser s’exposer aux microbes. Pour cette même raison, on ne doit pas surnettoyer nos mains, les comptoirs et autres surfaces pour ne pas diminuer notre système immunitaire.

« Voulez-vous construire votre système immunitaire ou l’affaiblir ? » demande le Dr Erikson.
« La base de la construction d’un système immunitaire est faite de virus et de bactéries.
Fin de l’histoire. » ajoute-t-il.

Lors d’épidémies et de pandémies, se sont toujours les malades qui sont placés en quarantaine. On ne devrait jamais isoler les personnes en santé.

Les gens qui présentent des symptômes devraient rester à la maison pendant que les autres travaillent normalement.

Aussi, les individus aux prises avec des troubles cardiaques, un cancer, de la haute pression ou tout autre problème de santé grave craignent tellement d’attraper la COVID-19 qu’ils tardent à aller consulter, envenimant du coup leur condition, parfois jusqu’à ce que ça leur soit fatal.

Les dépistages ne concernent qu’un moment dans le temps. Plus on teste, plus on se rend compte que le pourcentage de la population qui est positive à la COVID-19 augmente, ce qui réduit considérablement l’incidence de mortalité.

Prenons conscience que pendant que l’on confine :

  • La violence envers les enfants augmente

  • La violence conjugale augmente

  • L’alcoolisme augmente

  • L’anxiété augmente

  • La dépression augmente

  • Les suicides augmentent

  • L’éducation chute

  • L’économie s’effondre

Ces problèmes (souvent plusieurs en même temps) risquent de suivre toute leur vie les personnes qui en sont affectées, particulièrement les enfants.

« On ruine des vies, en ce moment. » s’inquiète Dr Erickson.

À la question « pourquoi pensez-vous que ces mesures ont été prises ? », il répond que les leaders prennent leurs décisions à partir des informations qu’ils reçoivent des gens qui les entourent et elles le sont sur des lignes de temps différentes. Et quand on lui demande pourquoi on devrait le croire plus que les autorités, il réplique qu’il n’est pas dans une tour d’ivoire, qu’il est sur le terrain.

Il fait remarque que le coronavirus vit sur du plastique pendant trois jours. Nos bouteilles d’eau en sont donc probablement infectées.

Il interroge par conséquent les journalistes présents :

« Sommes-nous vraiment protégés de la COVID-19 ? »

Selon lui, ça ne fait pas de sens qu’on puisse aller dans les grands magasins tels que Costco ou Home Depot et en rapporter des produits de consommation alors qu’on ne peut pas aller travailler ou à l’église.


Il ajoute:

« Les grosses entreprises sont ouvertes alors que les petites sont fermées. Ce n’est pas la science. Les gens ont besoin de travailler. »

De plus, il avance que les médecins subissent une pression à écrire sur les certificats de décès que la mort de leurs patients est due à la COVID-19 (sans tenir compte des autres facteurs de comorbidité), même quand ils pensent que ça n’a rien à voir.

Il questionne et répond sans détour :

« Augmenter les chiffres pour donner l’impression que cette maladie est pire qu’elle ne l’est vraiment ?
Je le pense. »

Le Dr Erickson a fourni beaucoup de chiffres (les plus récents au moment de la conférence de presse) pour appuyer ses propos, dont ceux-ci :

En se basant sur les taux respectifs de tests positifs de différents états et pays, il a calculé le taux de létalité de la Covid-19 et au moment de la conférence, ils étaient de 0,03 % en Californie, 0,05 % en Espagne, 0,09 % en Suède et 0,1 % dans l’État de New York. En comparaison, le taux de mortalité de la grippe aux États-Unis est d’environ 0,13 %.

Il se questionne sur la raison pour laquelle les gouvernements ne lèvent pas les barrières.

Il estime que nous devrions mettre en place des protections pour :

« Que des mesures qui arrêtent l’économie ne puissent plus être adoptées ;
Qu’on ne confine plus jamais les personnes en santé ;
Que les droits constitutionnels ne soient plus bafoués par des théories. »

UN GROUPE DE MÉDECINS AMÉRICAINS SOUHAITENT INFORMER LA POPULATION

Dans une vidéo parue le 28 juillet 2020, des médecins américains se prononcent sur l’hydroxycholoroquine et les mesures nécessaires pour contrer la COVID-19 et c’est TRÈS rassurant !

L’hydroxychloroquine, un remède vieux de plus de 65 ans qui a largement fait ses preuves et qui figure sur la liste des médicaments essentiels de l'OMS, est plus sécuritaire que les tylénols, que l’aspirine, qu’Advil. Bien sûr, comme toute médication, il ne doit pas être administré en surdose.

Ses propriétés sont anti-inflammatoires et immunomodulatrices.

En ce moment, des décisions politiques empêchent les médecins de le prescrire et les pharmaciens de le délivrer.

Le Traitement est pourtant très facile et des plus efficaces. En prévention, il suffit de combiner le zinc à prendre tous les jours avec l’hydroxychloroquine à raison de 200 mg, 2 fois par semaine.

La raison pour laquelle il agit si bien sur l’organisme pour combattre ou simplement prévenir la COVID-19 : il se loge en concentration plus importante dans les poumons, faisant obstacle à la maladie pour qu’elle ne puisse s’y développer.

Note :


Cette vidéo a rapidement été retirée de ma page personnelle par Facebook et quand j’ai tenté de l’y remettre, j’ai reçu un avertissement pour m’en dissuader (je vous invite à le lire sur la capture d'écran ci-contre) avec des liens qui conduisent à de l'information discréditant ce médicament ou faisant la promotion des masques et d'un vaccin.


On a pourtant besoin de tous les renseignements pertinents pour être en mesure de se faire une opinion juste.

Dans la société, les pensées contradictoires sont tout à fait normales et il est même sain que ce soit ainsi. Ce qui est malsain, c’est qu’une position soit censurée.

Ça, c’est bien plus épeurant que la COVID-19.

À PROPOS DES CORONAVIRUS

Selon Wikipédia, on compte plus de 5 000 types de virus. les coronavirus existeraient depuis au minimum des centaines de millions d’années, dont 7 type seraient transmissibles aux humains. Un premier coronavirus humain serait le 8e type, découvert en 1965, mais il ne circulerait déjà plus.

Donc, sur les 7 restants, 4 seraient la cause de 15 à 30 % des rhumes courants, occasionnant des symptômes bénins, et 3 seraient responsables de graves pneumonies, dont le SARS-COV2 mieux connu sous le nom de COVID-19.


Rappelons-nous que les médicaments existants pour traiter cette dernière version sont interdits en ce moment dans la plupart des pays, ce qui peut fausser sa classification.


À ce sujet, si on savait déjà que les coronavirus agissent sur l'organisme humain comme des rhumes ou des pneumonies, en vertu de quoi cette décision a-t-elle été prise ?



AU QUÉBEC

On décompte 5750 décès attribués à la COVID-19 sur environ 8 484 965 Québécois (population de 2019) ce qui représente plus ou moins 6,78 morts par 10 000 habitants. (Le nombre des décès est tiré d'un article paru dans la Presse canadienne du 27 août.)



À PROPOS DU VACCIN OBLIGATOIRE

Il est discuté à l’heure actuelle par les autorités de notre province qui disposent des articles 123 et 126 de la loi sur la santé publique pour nous y contraindre.


« 123. Au cours de l’état d’urgence sanitaire, malgré toute disposition contraire, le gouvernement ou le ministre, s’il a été habilité, peut, sans délai et sans formalité, pour protéger la santé de la population :
1° ordonner la vaccination obligatoire de toute la population ou d’une certaine partie de celle-ci contre la variole ou contre une autre maladie contagieuse menaçant gravement la santé de la population et, s’il y a lieu, dresser une liste de personnes ou de groupes devant être prioritairement vaccinés ; »

« 126. Si une personne fait défaut de se soumettre à la vaccination visée par un ordre donné en vertu de l’article 123, tout juge de la Cour du Québec ou des cours municipales des villes de Montréal, Laval ou Québec ayant compétence dans la localité où se trouve cette personne, peut lui ordonner de s’y soumettre.
Le juge peut en outre, s’il a des motifs sérieux de croire que cette personne ne s’y soumettra pas et qu’il est d’avis que la protection de la santé publique le justifie, ordonner que cette personne soit conduite à un endroit précis pour y être vaccinée. »

À la lumière des renseignements fournis jusqu'ici, je crains les conséquences de cette violation de nos droits et libertés.



La population est-elle suffisamment renseignée à propos de la COVID-19 et des vaccins ?


Non.


Pourquoi ?


Parce que les médias officiels et les plateformes tels que Facebook, YouTube et Google sont très polarisés et ils censurent avec zèle les informations qui sonnent l’alarme. Il est pourtant impératif que nous prenions conscience de l’ampleur des enjeux qui ont cours en ce moment, car c’est nous et toutes les générations qui nous suivront qui en subissons les effets affreusement néfastes au bout du compte.


Souhaitons-nous laisser notre gouvernement nous imposer la vaccination ?


Même si j’ose espérer que la situation ne dégénèrera pas jusque-là, force est d’admettre que c'est vers cette issue qu'il se dirige.


Nous glissons toujours sur une pente extrêmement dangereuse qui entraîne avec elle d’innombrables victimes.


Le contexte actuel justifie-t-il qu’on les sacrifie ?


Pour éviter que la COVID-19 fasse plus de mortalités, pourquoi ne permet-on pas aux médecins de traiter leurs patients avec des médicaments sûrs, dont l'hydrochloroquine, plutôt que de les forcer à en attendre un nouveau ?


Faut-il rappeler que les remèdes développés dans l'urgence pour soigner la COVID-19, incluant le vaccin, ne bénéficieront pas d'une longue période d'essais pour faire leurs preuves ?

Ce qui m’amène à me questionner sur le masque :


Quelle est la réelle motivation derrière son port obligatoire en ces temps où sa propagation s’est grandement atténuée ?


(Entendons-nous bien, je pense qu'il est bénéfique dans certaines circonstances.)


En nous bombardant de son image à travers tous ceux qui le mettent (dont je fais partie) :

N’aurait-elle pas plutôt pour but de nous maintenir dans la peur de la COVID-19 jusqu’à ce que le vaccin « qui nous en sauvera » soit disponible ?


La question se pose.


D’ailleurs :


Ça vous paraît sensé qu’il puisse être fabriqué artisanalement avec n’importe quels tissus ?



Afin de vous faire votre propre opinion, je vous invite à ouvrir l’œil et à tendre l’oreille en variant vos sources d’information pour que votre choix de recevoir ou pas le vaccin le moment venu soit éclairé, votre conclusion à son propos vous appartenant, bien évidemment.

Pour ma part, je me promets dès l’automne de lire deux livres à leur sujet afin de mieux les comprendre. Peut-être vous en ferais-je un compte-rendu… 😉



En attendant, il me semble impératif que les autorités mondiales :

  • Permettent aux médecins d’administrer les médicaments déjà existants, car ils ont amplement fait leurs preuves ;

  • Corrigent le tir en annulant l’obligation de porter le masque dans les pays où son port est exigé ;

  • Maintenant que le virus est affaibli, déconfinent complètement et cessent la distanciation sociale aussi rapidement que possible pour ne plus :

  1. Sacrifier inutilement tous ceux qui en souffrent dramatiquement ;

  2. Hypothéquer tout aussi dramatiquement l’économie.

  • Instaurent les mesures de protection suggérées par le Dr Erickson ;

  • Et ici au Québec, amendent la loi sur la santé publique en retirant les articles 123 et 126 concernant les vaccins.

Les grands médias ont également le devoir de remettre les pendules à l’heure et de rassurer la population.


Selon toute vraisemblance, craindre à ce point la COVID-19 n'a plus lieu.


Je vous laisse sur ces mots prononcés par le Pr Montargnier lors de son entrevue :


« On peut faire n’importe quoi à la nature, mais elle n’accepte pas n’importe quoi ! »

En effet, généralement, elle atténue tous virus qui brisent son harmonie.



 

Si vous êtes restés avec moi jusqu'ici, c'est sûrement parce que vous vous sentez interpelés par le sujet.


Je vous invite donc à prendre connaissance de mon billet intitulé COVID-19 : être positif à un virus ne veut pas dire qu’il est actif et dangereux. N’est-ce pas ? Je suis persuadée qu'il saura également retenir votre attention.


 

Je joins les liens des vidéos qui ont rendu possible ce billet. Vous n'avez qu'à cliquer dessus pour les ouvrir. Je vous invite à les consulter pour sentir l’intention de ces spécialistes qui souhaitent nous informer, et en apprendre davantage sur leurs positions à propos de la COVID-19, de la pertinence des mesures qui nous sont imposées et des vaccins.



Sites internet complémentaires :










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