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COVID-19: être positif à un virus ne veut pas dire qu’il est actif et dangereux. N'est-ce pas ?

Dernière mise à jour : 14 janv. 2021



Alors, pourquoi est-ce si important de focaliser autant l’attention de la population sur les nouveaux cas positifs de la COVID-19 ?

Bien sûr, je comprends qu’on veuille surveiller sa propagation, mais en divulguant uniquement les cas positifs, c’est-à-dire sans les contextualiser, sans nous faire part des mutations du virus pour savoir s'il s'est affaibli et sans le comparer à d’autres virus équivalents, les médias et les gouvernements ne garantissent-ils pas notre mauvaise interprétation de ce dénombrement ?

Surtout quand on est dans un climat de peur.


Par exemple, on nous informe qu’au Québec, en date du 10 septembre :

  • 64 707 personnes ont été infectées (comparativement à 62 933 au 3 septembre) ;

  • Et 5 780 décès dus à cette maladie ont été enregistrés jusqu’à ce jour. (Au 3 septembre, on en comptait 5 767.)

Mais on ne nous précise pas ce que ces chiffres signifient en pourcentage par rapport au nombre de tests ou à la population, et on ne les compare pas aux mortalités habituelles à la suite de complications aux autres coronavirus pour en extraire ceux vraiment causés par la COVID-19.

Eh bien, contextualisés, ils démontreraient :

  • Que seulement 3,46 % des personnes contrôlées ont été infectées (sur 1 869 576 tests, il y a eu 1 804 869 cas négatifs) ;

  • Ce qui représente une baisse importante de 2,07 % par rapport au 3 septembre alors que ce taux était à 5,53 %. (Sur 1 138 059 tests, il y avait 1 075 126 cas négatifs.)

  • Qu’au Québec, province comptant 8 552 362 habitants, 21,7 % de la population a été testée. (Gardons toutefois en tête que des personnes se sont fait tester plus d'une fois, ce pourcentage devrait donc être relativisé.) Ainsi, il y a eu une hausse de tests de 8,4 %, toujours par rapport au 3 septembre.

  • Que 0,06758 % des citoyens en sont décédés (sans considérer les facteurs de comorbidité, et on sait qu’ils pèsent lourdement dans la balance, ce qui réduirait énormément cette statistique) ;

  • Indiquant une infime augmentation de 0,00022 % des mortalités par rapport au 3 septembre (qui se chiffraient à 0,06736 %) ;

  • On compte donc 6,758 décès pour 10 000 Québécois (en date du 3 septembre, on en était à 6,736 décès pour 10 000 habitants) ;



Ces chiffres ne considèrent toutefois pas la manière dont sont dénombrées les mortalités par la COVID-19.


À ce propos, voici les explications de notre premier ministre aux alentours du 13 mai :

« Pourquoi on a plus de décès au Québec qu’à d’autres endroits dans le monde ?
... On est réputé pour déclarer, et puis même par association. Quand quelqu’un décède dans un CHSLD, s’il est associé à quelqu’un qui avait la COVID, ben y’é calculé comme COVID. C’est pas le cas... e... partout dans le monde. » François Legault


Il faudrait aussi tenir compte d'un autre élément très important : les tests positifs étant imprécis, on n'a pas la certitude que c’est bien la COVID-19 qui est détectée.


Tel qu’il a été expliqué dans un article paru dans SCIENCES ET AVENIR le 24 avril :

« En raison de l’urgence sanitaire, la Food and drug administration (FDA), l’équivalent de notre Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a allégé les réglementations autour de ces tests. Elle a autorisé leur utilisation dans des laboratoires et par des professionnels de santé pour diagnostiquer une infection au Covid-19. La FDA précise en parallèle qu’elle n’a pas examiné ces tests au préalable et que les résultats ne devraient pas être utilisés comme seule confirmation qu’une personne est porteuse de la maladie. Des autorisations similaires ont été prononcées en Australie. »
« Il arrive aussi que les antigènes ciblés par le test ne détectent aussi des antigènes d’autres maladies, comme par exemple des anticorps communs à tous les coronavirus. Il a fallu plusieurs années pour mettre au point un test VIH avec les bons anticorps et fiable à 99 %. »

Comme 7 types de coronavirus sont transmissibles aux humains, ça signifie que les tests positifs révèlent aussi les 6 autres.



De plus, être porteur du virus ne signifie pas qu'on en est contagieux, car sa concentration doit être également considérée.

« Les tests standards diagnostiquent comme positif un grand nombre de personnes qui pourraient porter des quantités insignifiantes de virus, résume le NYT. La plupart de ces gens ne sont probablement pas contagieux. » Extrait d'un article qui cite le New York Times (samedi 29 août)

Au fait, est-ce que les coronavirus se comportent de façon similaire à certains virus (comme le VHS-1) qui restent inactifs dans les ganglions lymphatiques pour la plupart des individus qui les portent, ne se réveillant que de temps en temps pour certains, ou bien ils se conduisent différemment ?


En d'autres mots, est-ce qu'une fois qu'on l'a contracté, il reste pour la vie dans notre système ?



Étant donné que les coronavirus se développent généralement en rhume, ne dégénérant que très rarement en pneumonies, voici ce qui est bon à savoir :


La rhinopharyngite (infection du pharynx) ou nasopharyngite (infection des voies nasales) qu’on appelle communément « rhume banal » est généralement bénigne. Les virus qui en sont principalement la cause sont les picornaviridés, les adénovirus ou les coronavirus.

Si les rhumes sont plus fréquents en hiver, c’est probablement parce que l’air est plus sec, rendant la muqueuse du nez plus fragile aux virus. Aucune expérience scientifique n’a pu prouver une corrélation entre de courtes expositions au froid et le rhume.


« ... suggérant fortement que la variation saisonnière du nombre d'infections serait due par exemple à des changements comportementaux tels qu'une plus grande promiscuité et des séjours prolongés dans des lieux confinés.
Sheldon Cohen (en), Professeur de psychologie, a constaté que les personnes bien entourées socialement ont trois fois moins de probabilités d'attraper le rhume que les personnes isolées. » Wikipédia

Intéressant ! N’est-ce pas ?


Est-ce que ça signifie qu’en isolant les personnes âgées ou celles qui sont à risque, on les met encore plus en danger ?


Chose certaine, l’être humain a besoin d’interagir avec ses semblables.


Ça lui est vital, comme le démontre l'histoire de deux sœurs (92 ans et 90 ans) qui se sont rétablies de la COVID-19 après que leurs proches aient conversé avec elles par appel vidéo pour leur remonter le moral.


L’une d’entre elles recevait pourtant des soins de conforts afin d’atténuer ses douleurs en attendant la mort qui semblait inéluctable. Comme elle allait mieux dès le lendemain, la médication pour traiter la maladie a été reprise. À ce constat, la famille entreprit la même démarche avec l’autre tante qui avait cessé de boire et de manger. Cela fit également toute la différence.


À propos des mesures sanitaires : en tenant compte de tout ce qui a été nommé précédemment, ne sont-elles pas exagérées ?


D’autant plus :

  • Que la courbe est derrière nous ;

  • Qu'une deuxième vague d'une telle ampleur est improbable selon plusieurs scientifiques de renom, dont certains sont mentionnés dans ce billet ;

  • Que la COVID-19 est sans symptômes pour un grand nombre de personnes infectées, donc elle leur est inoffensive ;

  • Que si elle se développe, ce sera en rhume pour la majorité des gens ;

  • Que les rhumes reviennent périodiquement et qu'il serait par conséquent normal que la COVID-19 engendre des rebonds de temps en temps ;

  • Que les rhumes, bien qu'inconfortables, sont bénins ;

  • Et qu’ils s’aggravent presque exclusivement chez les individus qui présentent des comorbidités (comme n'importe quelles infections le font, d'ailleurs).


Dans ces circonstances, ne serait-ce pas excessif d’exiger la vaccination ?


D'autant plus que nous sommes au courant désormais, grâce à la Dre Alexandra Henrion-Caude, que le vaccin multiplie par 1,5 à 2 fois les risques de complication pulmonaires chez ceux qui sont déjà porteurs du virus inoculé ou d'autres actifs, créant des orages cytokiniques trop souvent fatals.


Étant donné le moment très mal choisi pour l’imposer s'il sortait bientôt, ne serait-ce pas l’équivalent de jouer à la roulette russe sur la population ?



Est-ce vraiment la COVID-19 qui est à craindre, finalement ?


Surtout quand on sait désormais, grâce au Pr Luc Montargnier (biologiste virologue corécipiendaire du prix Nobel pour ses découvertes sur le VIH), que cette récente version est celle d’un coronavirus de chauve-souris manipulé par des biologistes moléculaires pour y insérer des séquences de VIH (et d’autres virus) de manière à ce qu’il soit reconnaissable par les humains, et qu’à l’heure actuelle, les personnes infectées l’auraient déjà énormément transformé.

Je le cite :

« Ce qui est en train de se passer, c’est que la nature élimine ces corps étrangers du génome du coronavirus et on assiste à un nombre de mutations spectaculaires, de ce qu’on appelle maintenant des délétions, parce qu’on enlève justement les morceaux qui ont été altérés, les morceaux du VIH. La nature les enlève spontanément au fur et à mesure que le virus passe d’un patient à l’autre. »


Donc, les plus grands dangers ne proviendraient-ils pas plutôt des mesures qui nous sont imposées, dont la distanciation sociale ?


Car en plus d'augmenter les probabilités de développer des pathologies (comme démontré avec le rhume et possiblement d'autres maladies) par le manque de contacts sociaux, elles augmentent en flèche la détresse psychologique conduisant à la violence envers les enfants, la violence conjugale, l’alcoolisme, l’anxiété, la dépression, les suicides.


Sans compter la maltraitance de nos aînées, car c’est bien de cela qu’il s’agit quand on les prive de leurs proches alors qu’ils sont au crépuscule de leur existence. (Quelques mois dans la vie d'une personne âgée, c'est une petite éternité !) Saviez-vous que le manque affectif en a poussé à s’enlever la vie ? Est-ce qu’on en a entendu parler aux nouvelles ? Avoir leurs familles et amis près d’eux les aurait pourtant aidé à remonter leur système immunitaire ou du moins à adoucir leur dernier soupir.


Et nos enfants dans les garderies et les écoles, dont le développement est freiné par les mesures imposées par les gouvernements. (Discutez-en avec les pédiatres.)


Et l’éducation qui en prend un dur coup.


Et l’économie qui s’effondre.


 

Si vous êtes restés avec moi jusqu’ici, c’est sans doute que le sujet vous captive. Comme je suis convaincue que mon billet intitulé COVID-19 : faits troublants exposés par des scientifiques afin de remettre les pendules à l'heure retiendra également votre attention, je vous invite à le lire en cliquant dessus.


 

Pour consulter les documents desquels ont été tirées les citations à propos des tests pour dépister la COVID-19, suivez ces liens :


Pour visionner la vidéo dans laquelle notre premier ministre, François Legault, nous explique la comptabilisation des décès par la COVID-19, passez par ici.


Afin d'accéder à l'entrevue avec la Dre Alexandra Henrion-Caude, suivez ce lien.


Puis, aux entrevues du Pr Luc Montagnier ; l'une en vidéo, l'autre en audio (cette dernière est particulièrement intéressante), le lien est ici.


Pour lire l'article du Journal de Montréal, suivez ces liens :


Pour en apprendre plus sur les coronavirus, cliquez ici.


Puis sur le VHS-1 : par ici et ici.








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